| Charles Millevoye - 1880 - 474 pages
...traduit ce morceau de Théocrite, dans ces beaux vers de Phèdre : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue : Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler: Je sentis tout mon corps et transir et brûler. C'est ainsi que Racine savait imiter, pour être inimitable.... | |
| Yonne (France) - 1883 - 1168 pages
...Aussi le poêle at-il pu dire, en plein accord avec la physiologie : .... je rougis, je pâlis à sa vue, Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je ne vous décris pas, Messieurs, le phénomène désigné... | |
| Theocritus - 1885 - 274 pages
...p. 363, and Hor. Od. I. 13, б ; also Racine, Phèdre i. 3 •Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, Je sentis tout mon corps et transir et brûler.' I. 109. Kw£eCvT<u, 'whine.' Cp. 6.30. II. 114 foil,... | |
| Paul Stapfer - 1888 - 346 pages
...faits dans son cœur : Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. I Plus loin, lorsque à Hippolyte lui-même elle parle... | |
| 1889 - 322 pages
...semblait être affermi : Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis : je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler ; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang... | |
| Ernest Bertin - 1889 - 394 pages
...funestes ardeurs dans des vers où il associe Euripide et Sapho : Je le vis, je rougis, jo pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. Je sentis tout mon corps et transir et brûler. C'était Arnauld qui lui reprochait d'avoir amolli... | |
| Karl Julius Ploetz, Carl Ploetz - 1894 - 846 pages
...moi qui l'ai dit, c'est toi. (Euripide, Hipp., v. 352.) Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; "n trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; •Je sentis tout mon corps et transir et brûler; it- reconnus Vénus et ses feux redoutables; D'un... | |
| André Chénier - 1884 - 498 pages
...divin que Racine a imité et n'a pu surpasser dans sa Phèdre : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Pour la sueur qui coule sur son visage, on peut voir... | |
| Herbert Weir Smyth - 1900 - 716 pages
...Valerius Aedituus in Gellius 19. 9, Racine, 'Phèdre' 1. 3, Je le -vis, je rougi«, je palis à sa vue ; | Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue...\ Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, \ Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Euripides would seem to have had the ode in mind... | |
| 1900 - 1088 pages
...La Phèdre de Racine en donne une expression intéressante : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue, Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et bn'iler. C'est le tableau de la confusion mentale tel qu'on... | |
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