| 1911 - 952 pages
...roule avec dedain, sans voir et sans entendre, A cot6 des fourmis les populations, Je ne dislingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mere, et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hecatouibe, Mon priutemps ne sent pas... | |
| Jean-Marie Guyau - 1911 - 520 pages
...dedain, sans voir et sans entendre, H cöte des fourmis les populations; Je ne distingue pas leur terrler de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mere et je suis une tombe. Mon hiver prend vos morts corame son hécatombe, Mes printemps ne sont pas... | |
| 1911 - 962 pages
...avec dedain, sans voir et «ans entendre, A rote des fourmis les populations, Je ne distingue pas lenr terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit nne mere, et je snis une tombe. Mon hiver prend vos morts comme son hecatombe, Mon printemps nc sent... | |
| Émile Faguet - 1911 - 330 pages
...semble attirer les morts : Je roule avec dédain sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations, Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant le nom des nations. On me dit une mère et je suis ma tombe, Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe,... | |
| Émile Faguet - 1911 - 336 pages
...morts : Je roule avec dédain sans voir et sans entendre) A côté des fourmis les populations, •14 Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant le nom des nations. On me dit une mère et je suis ma tombe, Mon hiver prend vos morts comme son hécatombe,... | |
| Albert Dauzat - 1911 - 426 pages
...nos joies. Et Alfred de Vigny, renchérissant, la considère comme une marâtre : On me dit une more et je suis une tombe : Mon hiver prend vos morts comme son liéralombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations1. Ce sont là les trois conceptions essentielles,... | |
| Ernest Dupuy - 1912 - 468 pages
...ses muets spectateurs. Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populations ; Je ne distingue pas leur terrier de...hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations. C'est là ce que me dit sa voix triste et superbe, Et dans mon cœur alors je la hais, et je vois Notre... | |
| George Neely Henning (ed) - 1913 - 460 pages
...côté des fourmis les populations ; « Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, &» 290 « J'ignore en les portant les noms des nations. « On...Avant vous, j'étais belle et toujours parfumée, 295 • « J'abandonnais aux vents mes cheveux tout entiers ; « Je suivais dans les cieux ma route... | |
| George Neely Henning - 1913 - 456 pages
...* A côté des fourmis les populations ; « Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, 290 « J'ignore en les portant les noms des nations. « On...Avant vous, j'étais belle et toujours parfumée, 295 « J'abandonnais aux vents mes cheveux tout entiers : « Je suivais dans les cieux ma route accoutumée,... | |
| Albert Dauzat - 1914 - 300 pages
...Rousseau) et Vigny : Mais la nature est là, qui t'invite et t'enivre ; Plonge-toi dans son sein2... On me dit une mère et je suis une tombe ; Mon hiver...hécatombe, Mon printemps ne sent pas vos adorations 2. Il en est de même chez les peintres, pour qui sait interpréter leurs payages. Comme l'a profondément... | |
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