Quand le soir approchait je descendais des cimes de l'île et j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac, sur la grève, dans quelque asile caché ; là le bruit des vagues et l'agitation de l'eau fixant mes sens et chassant de mon âme toute autre... Grammatologie Française ... - Page 102by M. Massé - 1863Full view - About this book
| 1907 - 1234 pages
...plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses, mais délicieuses. » Ecoutez-le encore : « Quand le soir approchait, je descendais des cimes...aperçu. Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient... | |
| Erich Rundstroem - 1907 - 114 pages
...des Bieler Sees versunken in den Anblick des Wogenspiels; hinreissend weiss er davon zu sprechen : „Quand le soir approchait, je descendais des cimes...du lac, sur la grève, dans quelque asile caché; lä, le bruit des vagues et l'agitation de l'eau, fixant mes sens et chassant de mon âme toute autre... | |
| Erich Rundstroem - 1907 - 112 pages
...l'ile, et j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac, sur la greve, dans quelque asile cache ; lä, le bruit des vagues et l'agitation de l'eau, fixant mes sens et chassant de mon äme toute autre agitation, la plongeaient dans une reverie delicieuse, oti la nuit me surprenait souvent... | |
| Charles Edmund Young - 1908 - 318 pages
...l'île et j allais volontiers tfiasseoir au bord du lac, sur la grève, dans • quelque asile cache: là le bruit des vagues et l'agitation de l'eau fixant...une rêverie délicieuse, où la nuit me surprenait. Le flux et reflux de cette eau, son bruit continu mais renfle par intervalles, frappant sans relâche... | |
| Paul Souriau - 1909 - 332 pages
...d'attrait et de précision tout ensemble que J.-J. Rousseau, dans ses Rêveries du promeneur solitaire : « Quand le soir approchait, je descendais des cimes...bord du lac, sur la grève, dans quelque asile caché ; la, le bruit des vagues et l'agitation de l'eau, fixant mes sens et chassant de mon âme toute autre... | |
| Virgile Rossel, Henri Ernest Jenny - 1910 - 396 pages
...dans lesquelles la vue s'étendait jusqu'aux montagnes bleuâtres plus éloignées qui la bornaient. Quand le soir approchait, je descendais des cimes...souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalle, frappant sans relâche mon oreille... | |
| Émile Faguet - 1911 - 336 pages
...le cadre, qui est grandiose, nous soit rappelé et ne s'éloigne pas, pour ainsi dire, de nos yeux. Quand le soir approchait, je descendais des cimes...aperçu. Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suffisaient... | |
| Émile Faguet - 1911 - 330 pages
...s'éloigne pas, pour ainsi dire, de nos yeux. Quand le soir approchait, je descendais des cimes de l'Ile et j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac, sur...aperçu. Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suffisaient... | |
| Antoine Albalat - 1911 - 360 pages
...du 20 au 26 septembre 1833.) L'homme est un dieu tombé qui so souvient dos cieux. Au bord d'un lac. Quand le soir approchait, je descendais des cimes...et chassant de mon âme toute autre agitation, la plongeait dans une rêverie délicieuse, où la nuit me surprenait souvent sans que je m'en fusse aperçu.... | |
| Ludovic Dugas - 1911 - 246 pages
...extérieures. Pour l'éprouver, dit-il. « j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac, sur la grève ; là, le bruit des vagues et l'agitation de l'eau,...agitation, la plongeaient dans une rêverie délicieuse... Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé pai' intervalles, frappant sans... | |
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