| Capelle (M., Pierre Adolphe) - 1819 - 456 pages
...récit. 11 prend le ton de la matière ; il peint un orage furieux : Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. Le vent part de l'extrémité de l'horizon ; sa rapidité s'augmente... | |
| Anne Marie comtesse Beaufort d'Hautpoul - 1821 - 452 pages
...épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le Notd eût porté jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon; le roseau plie. Le vent redouble ses... | |
| William Jillard Hort - 1822 - 346 pages
...épouvantables, Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans, Que le nord eût portés jusque là dans ses flancs. L'arbre tient bon : le roseau plie. Le vent redouble ses efforts;... | |
| 1825 - 434 pages
...coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disoitces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eut portés jusques là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1833 - 738 pages
...épouvantables , Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots , Du Iwul de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le Nord eftt portés jusque là dans ses flancs. L'arbre tient bon , le Roseau plie ; Le vent redouble ses... | |
| Jean de La Fontaine - 1836 - 372 pages
...épouvantables , Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie . Le plus terrible des enfans Que le Nord eàt portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon , le roseau plie. Le vent redouble ses efforts... | |
| 1838 - 304 pages
...épouvantables, Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine... | |
| Jean-François de La Harpe - 1839 - 434 pages
...et destructeur peut-il être plus poétiquement désigné que dans cet endroit de la même fable? Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. Quelle tournure élégamment métaphorique dans ces deux vers sur... | |
| E F C. Ritter - 1844 - 236 pages
...épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible...jusques-là dans ses flancs. L'arbre tient bon : le roseau plie ; Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au... | |
| Auguste Mariot de Beauvoisin - 1848 - 270 pages
...Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horison accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eût portés jusque-ld dans ses flancs. L'arbre [tient bon] ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts... | |
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