 | 1851 - 508 pages
...Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fln. — Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horison accourt avec furie Le plus terrible des enfans, Que...jusques-là dans ses flancs. L'Arbre tient bon , le Roseau plie : Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui.de qui la tète... | |
 | 1851 - 396 pages
...Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la lin. — Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horison accourt avec furie Le plus terrible des enfans, Que le nord eût porté jusques-là dans ses flanes. L'Arbre tient bon , le Roseau plie : Le vent redouble ses efforts , Kl fait si bien qu'il deracine... | |
 | Jean de La Fontaine - 1851 - 136 pages
...épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie. Le plus terrible des enfans Que le nord eût portés jusques-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts,... | |
 | A. Roche - 1853 - 720 pages
...épouvantables », Résisté sans courber le dos; Mais attendons la un. » Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon, le roseau plie ; Le vent redouble ses efforts,... | |
 | Antonio Bergnes de las Casas - 1857 - 500 pages
...épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots . Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eût porté jusque-là clans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait... | |
 | Jean de La Fontaine - 1861 - 736 pages
...épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin. » Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts,... | |
 | Jean de La Fontaine - 1879 - 212 pages
...fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horison accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût porté jusques-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie ; Le vent redouble ses efforts ; Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête... | |
 | 1883 - 1334 pages
...aeroit-ce à juste cause Qu'on le dit bon à quelque chose. I, 113. F. Comme il disoit ces mots. Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eût portée jusque-là dans ses flancs. 1,39. F. Prädikativ: Je n'ai qu'à l'invoquer, comme il n'a qu'à... | |
 | Léon Wespy - 1884 - 74 pages
...seroit -ce ä juste cause Qu'on le dit bon ä quelque chose. 1,113. F. Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eüt porte's jusque-lä dans ses flancs. 1,39. F. Prädikativ: Je n'ai qu'ä l'invoquer, comme il n'a... | |
 | Jean de La Fontaine - 1890 - 474 pages
...épouvantables I ! i'sisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. » Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts,... | |
| |
L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts. 
