| Ludwig Herrig - 1891 - 716 pages
...fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût porté jusques-là dans ses flancs. L'arbre tient bon; le roseau plie: Le vent redouble ses efforts : Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au... | |
| Jean de La Fontaine - 1912 - 356 pages
...épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fm. » Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs ; L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts,... | |
| Académie nationale de Reims - 1881 - 964 pages
...épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eût portés jusque-lii dans ses flancs. L'arbre lient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts,... | |
| Prosper Tarbé - 1851 - 264 pages
...Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. — Comme il disoit ces mots, Du bout de l'horison accourt avec furie Le plus terrible des enfans, Que...jusques-là dans ses flancs. L'Arbre tient bon , le Roseau plie : Le vent redouble ses efforts ,' Celui, de qui la tête au ciel était voisine , Et dont... | |
| Jean de La Fontaine - 1875 - 834 pages
...épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. » Gomme il disoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie Le vent redouble ses efforts,... | |
| 1809 - 618 pages
...épouvantables Résisié sans courber le dot : Mais attendons la fin. Comme il disait cet mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le Nord eût portés jusques-là dans ses flancs. L'arbre tient boa ; le roseau plie : Le vent redouble ses elfons... | |
| 1797 - 608 pages
...l'orage Comme il disoit ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des^nfans Que le Nord eût porté jusques-là dans ses flancs. L'arbre tient bon , le roseau plie ; Le veut ri double ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête... | |
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