| François Noel - 1851 - 758 pages
...Consolent nos douleurs au moins quelques instans ; Remède encor trop faible à des maux si constans. Ah 1 n'empoisonnons pas la douceur qui nous reste. Je crois...Combattre avec les fers dont ils sont enchaînés. VOLTAIRE. Douceurs de la Vie champêtre. TlRCiS, il faut songer à faire la retraite; La course de... | |
| François Joseph Michel Noël, Auguste Baron - 1852 - 660 pages
...Consolent nos douleurs au moins quelques instants; Remède cncor Irop faible à des maux si constants. Ah ! n'empoisonnons pas la douceur qui nous reste....Combattre avec les fers dont ils sont enchaînés. DOUCEUnS ПЕ LA VIE CBAUPÈTRE. Tircis, il faut songer à faire la retraite; La course de nos jours... | |
| A. Roche - 1853 - 720 pages
...Consolent nos douleurs au moins quelques instants: Remède encor trop faible à des maux si constants. Ah ! n'empoisonnons pas la douceur qui nous reste....Combattre avec les fers dont ils sont enchaînés. (POEME DE L» LOI IUTD«ELL«.) Le mondain. Regrettera qui veut le bon vieux temps, Et l'âge d'or,... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1853 - 810 pages
...fardeaux. Nous marchons tous courbes soiis le poids de nbs maux. Je crois voir des forçats dans un cachot funeste, Se pouvant secourir, l'un sur l'autre...Combattre avec les fers dont ils sont enchaînés. Dans la quatrième partie, Voltaire examine les fonctions des gouvernements relativement à la religion,... | |
| Voltaire - 1858 - 388 pages
...les secourables charmes Consolent nos douleurs, au moins quelques instans : Remède encor trop faible à des maux si constans. Ah ! n'empoisonnons pas la...douceur qui nous reste. Je crois voir des forçats dans un cachot funeste, Se pouvant secourir, l'un sur l'autre acharnés, Combattre avec les fers dont ils... | |
| Voltaire - 1859 - 638 pages
...sont pas philosophes. ' Pluche, auteur du Spectacle de la Nature. Je crois voir des forçats dans un cachot funeste, Se pouvant secourir, l'un sur l'autre...Combattre avec les fers dont ils sont enchaînés. QUATRIÈME PARTIE. C'est au gouvernement à calmer les malheureuses disputes de l'école qui troublent... | |
| Voltaire - 1860 - 542 pages
...Consolent nos douleurs au moins quelques instants; Remède encor ttop faible à des maux si constants. Ah! n'empoisonnons pas la douceur qui nous reste. Je crois voir des forçats dans un cachot funeste, Se pouvant secourir, l'un sur l'autre acharnés, Combattre avec les fers dont ils... | |
| Voltaire - 1860 - 522 pages
...Consolent nos douleurs au moins quelques instants; Remède encor trop faible à des maux si constants. Ah! n'empoisonnons pas la douceur qui nous reste. Je crois voir des forçats dans un cachot funeste, Se pouvant secourir, l'un sur l'autre acharnés, . Combattre avec les fers dont... | |
| François Barrière, Mathurin Lescure - 1863 - 542 pages
...me rappelaient que trop souvent l'égarement de ces infortunés dont parle Voltaire , que l'on voit L'un sur l'autre acharnés, Combattre avec les fers dont ils sont enchaînés. Mais ils n'en étaient que plus dignes de pitié , sans en être moins dignes d'estime et de respect.... | |
| Paul Guesdon - 1867 - 352 pages
...Consolent nos douleurs au moins quelques instants : Remède encor trop faible à des maux si constants, Ah ! n'empoisonnons pas la douceur qui nous reste....Combattre avec les fers dont ils sont enchaînés. Voltaire. § 19. Sachez surtout que le luxe enrichit Un grand État, s'il en perd un petit. Cette splendeur,... | |
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