Elle a deux grands môles, semblables à deux bras ' , qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un vaste port où les vents ne peuvent entrer. Dans ce port on voit comme une forêt de mâts de navires; et ces navires sont si nombreux, qu'à peine... Les aventures de Télémaque - Page 112by François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1920 - 556 pagesFull view - About this book
| Alfred Charles Clapin - 1866 - 198 pages
...est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles* semblables à deux bras, qui s'avancent dans la mer,...de navires; et ces navires sont si nombreux qu'à peine5 peut-on découvrir la mer qui les porte. 1 Float. 2 Approach it. 3 At first. 4 Pier. 5 Scarcely.... | |
| abbé Olinger - 1866 - 586 pages
...qu'elle est la ville commune de tous les peuples, ct lecentre de leur commerce. Ellca deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent ccne groote haven waarin de winden niet kunnen komen. In un grand port où les vents ne peuvent venir.... | |
| Paul Guesdon - 1867 - 352 pages
...habitants sont eux-mêmes les plus fameux marchands qu'il y ait dans l'univers. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un vaste port. On voit comme une forêt de mâts de navires ; et ces navires sont si nombreux, qu'à peine peut-on... | |
| Achille Albitès - 1868 - 276 pages
...qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre do leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras, qui s'avancent dans la mer...vents ne peuvent entrer. Dans ce port, on voit comme un forêt de mâts de navires, et ces navires sont si nombreux? qu'à peine peut-ou découvrir la mer... | |
| François de Salignac de la Mothe Fénelon (abp. of Cambrai.) - 1869 - 530 pages
...est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles, semblables à deux bras, qui s'avancent dans la mer,...découvrir la mer qui les porte. Tous les citoyens s'appliquent au commerce, et leurs grandes richesses ne les dégoûtent jamais du travail nécessaire... | |
| François Quesnel - 1869 - 360 pages
...qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce . . . dans ce port on coit comme une forêt de mâts de navires, et ces navires...qu'à peine peut-on découvrir la mer qui les porte, Fénélon : — Télémaque. GRAMMATICAL QUESTIONS. 1. Parse the word appartienne. 2. Parse these two... | |
| Edward Hicks Magill - 1870 - 464 pages
...est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un vaste port. On voit comme une forêt de mâts de navires, et ces navires sont si nombreux, qu'à peine peut-on... | |
| Edward Hicks Magill - 1870 - 472 pages
...est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer, et qui embrassent un vaste port. On voit comme une forêt de mâts de navires, et ces navires sont si nombreux, qu'à peine peut-on... | |
| Louis Pujol - 1873 - 574 pages
...est la ville commune de tous les peuples, et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à deux bras qui s'avancent dans la mer,...ne peuvent entrer. Dans ce port on voit comme une foret de muts de navires ; et ces nav.res sont si nombreux, qu'à peine peut-on découvrir la mer qui... | |
| Achille Albitès - 1873 - 276 pages
...qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce. Elle a deux grands môles semblables à de.ux bras, qui s'avancent dans la mer...vents ne peuvent entrer. Dans ce port, on voit comme un forêt de mâts de navires, et ces navires sont si nombreux' qu'à peine peut-on découvrir la mer... | |
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