| Pierre Corneille - 1862 - 606 pages
...perdre son évêché que son livre1, et j'aime mieux les bonnes grâces de mon maître que toutes le> réputations de la terre : je me tairai donc , non point par mépris, mais par respect Je1 vous conjure de ne montrer point ma lettre à Monseigneur, si vous jugez qu'il me soit échappé... | |
| Pierre Corneille - 1864 - 522 pages
...qu'Héliodore , qui » aima mieux perdre son évêché que son livre, et j'aime » mieux les bonnes grâces de mon maître que toutes les » réputations de la...» mépris, mais par respect, etc. » Cette lettre contenait encore beaucoup d'autres choses sur la même matière, et au bas il avait ajouté par apostille... | |
| Pierre Corneille - 1864 - 524 pages
...qu'Héliodore, qui « aima mieux perdre son évêché que son livre, et j'aime . mieux les bonnes grâces de mon maître que toutes les » réputations de la...» mépris, mais par respect, etc. » Cette lettre contenait encore beaucoup d'autres choses sur la même matière, et au bas il avait ajouté par apostille... | |
| 1867 - 328 pages
...qu'Héliodore, qui aima mieux perdre son évêché que son livre, et j'aime mieux les bonnes grâces de mon maître que toutes les réputations de la terre; je me tairai donc. » ï\7e reprochons pas à Corneille cet acte de faiblesse. La destinée le lui fit expier assez cruellement.... | |
| François Guizot - 1875 - 588 pages
...qu'Héliodore, qui aima mieux perdre son évèché que son livre, et j'aime mieux les bonnes grâces de mon maître que toutes les réputations de la terre. Je me tairai donc, non par mépris, mais par respect. » Le grand Corneille ne se défendait plus; il était redevenu un serviteur;... | |
| P. L. Jacob - 1882 - 738 pages
...ses amis et surtout à ceux de Boisrobert, auquel il écrivit : «. J'aime mieux les bonnes grâces de mon maître que toutes les réputations de la terre;...tairai donc, non point par mépris, mais par respect. » Le jugement du Cid, que Corneille eut l'air d'accepter avec indifférence, fit beaucoup d'honneur... | |
| P. L. Jacob - 1882 - 712 pages
...ses amis et surtout à ceux de Boisrobert, auquel il écrivit : « J'aime mieux les bonnes grâces de mon maître que toutes les réputations de la terre;...tairai donc, non point par mépris, mais par respect. D Le jugement du Cid, que Corneille eut l'air d'accepter avec indifférence, fit beaucoup d'honneur... | |
| Émile Auguste Étienne Martin- Deschanel - 1883 - 458 pages
...qu'Héliodore, qui aima mieux perdre son évêché que son livre l ; et j'aime mieux les bonnes grâces de mon maître que toutes les réputations de la terre. Je me tairai donc. » Puis il remercie Bois-Robert « du soin qu'il a pris de lui faire parvenir les libéralités de... | |
| François Guizot - 1887 - 600 pages
...qu'Héliodore, qui aima mieux perdre son évêché que son livre, et j'aime mieux les bonnes yrIirps de mon maître que toutes les réputations de la terre. Je me tairai donc, non par mépris, mais par respect. » Le grand Corneille ne se défendait plus; il était redevenu un serviteur;... | |
| François Guizot - 1887 - 594 pages
...qu'IIéliodore, qui aima mieux pprdre son évêché que son livre, et j'aime mieux les bonnes grâces de mon maître que toutes les réputations de la terre. Je me tairai donc, non par mépris, mais par respect. » Le grand Corneille ne se défendait plus; il était redevenu un serviteur;... | |
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