L'âne vint à son tour, et dit : J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut... Introduction à la littérature - Page 37by A. B. Ozun - 1849 - 120 pagesFull view - About this book
| Jean de La Fontaine - 1836 - 372 pages
...pardonnables offenses : i.Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, An dire de chacun étaientde petits saints. L'âne vint à son tour , et dit : J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant , v. La faim , l'occasion , l?herbe tendre , et jeppnse, Je n'en avais nul droit , puisqu'il faut parler... | |
| Jean de la Fontaine - 1838 - 486 pages
...pardonnables offenses : Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples matins. Au dire de chacun , étoient de petits saints. L'âne vint à son tour, et dit...l'herbe tendre, et, je pense. Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avois nul droit , puisqu'il faut parler... | |
| Jean de La Fontaine - 1838 - 394 pages
...de l'ours, ni des autres puissances,1 Les moins pardonnables offenses : Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient...L'âne vint à son tour, et dit : J'ai souvenance 2 Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable... | |
| Jean-François de La Harpe - 1839 - 434 pages
...circonstances sont faites pour atténuer sa faute, qu'il semble vouloir aggraver si bonnement ? En im pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Et ce cri qui s'élève : Manger l'herbe d'autrui... | |
| Jean de La Fontaine - 1840 - 724 pages
...puissances , Les moins pardonnables offenses. Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples matins , ue , Fut enfin au piège attrapé. poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler... | |
| Patrice-François-Marie Cruice - 1840 - 406 pages
...flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion,...l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler... | |
| Charles Jean Delille - 1841 - 474 pages
...ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses : Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient...La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. À ces mots, on cria haro* sur le baudet. Un loup,... | |
| Jean de La Fontaine - 1841 - 400 pages
...de l'ours, ni des autres puissances,1 Les moins pardonnables offenses : Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient...L'âne vint à son tour, et dit : J'ai souvenance 8 Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable... | |
| Jean de La Fontaine - 1841 - 424 pages
...de l'ours, ni des autres puissances,1 Les moins pardonnables offenses : Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient...L'âne vint à son tour, et dit : J'ai souvenance 2 Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, • Quelque diable... | |
| 1842 - 498 pages
...ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses. Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient...l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler... | |
| |