En effet, nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même- origine ; et cette origine est petite. Leurs années se poussent successivement comme des flots : ils ne cessent... La philosophie et la pratique de l'éducation - Page 317by Roger de Guimps - 1860 - 484 pagesFull view - About this book
| 1843 - 500 pages
...que des eaux qui se perdent sans.retou.r, » En effet, nous ressemblons tous à des eaux. courantes. De quelque superb.e distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine, et cette origine est petite. Leurs années se poussent successivement comme des... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1844 - 532 pages
...que des eaux qui se perdent sans retour *.» En effet, nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine; et cette origine est petite. Leurs années se poussent successivement comme des... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1845 - 612 pages
...par lé vent. (B.) « sans retour • . » En effet , nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque su.perbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine; et cette origine est petite. Leurs années se poussent successivement comme des... | |
| 1899 - 508 pages
...lesquels il s'est complu d'imprimer des caractères de gj-andeur et de vertu singulière. Bossuet: De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine. Friedrich: Le paysan est son ouvrage comme le souverain. Bossuet: l'étude qui plaisait... | |
| Ed Mennechet - 1846 - 470 pages
...ainsi que des eaux qui se perdent sans retour. En effet, nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine ; et cette origine est petite. Leurs années se poussent successivement comme des... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1847 - 616 pages
...emportée par le vent. (B.) « sans retour ' . » En effet , nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine; et cette origine est petite. Leurs années se poussent successivement comme des... | |
| F.-X. de (François Xavier) Feller, François-Xavier Feller - 1848 - 736 pages
...terram ( 2 Reg. 1-i ), il continue : « En effet , nous ressemblons tous à des eaux cou» rentes. De quelque superbe distinction que se » flattent les hommes , ils ont tous une même ori» gine, et cette origine est petite. Leurs années se » poussent successivement comme... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1851 - 534 pages
...que des eaux qui se perdent sans retour. » En effet, nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine ; et cette origine est petite. Leurs années se poussent successivement comme des... | |
| Jacques Bénigne Bossuet (bp. of Meaux.) - 1855 - 488 pages
...des eaux « qui se perdent sans retour 1 . » En effet, nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine; et cette origine est petite. Leurs années se poussent successivement comme des... | |
| Adolphe marquis de Chesnel - 1855 - 638 pages
...ainsi que des eaux qui se perdent sans retour. En effet, nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine, et cette origine est petite. Leurs années se poussent successivement comme des... | |
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