 | Jean-Claude Polet - 1992 - 824 pages
...route. Nous trouvons Jésus à la fois plein de force et de faiblesse ; plein de force, parce qu'au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu. (Jean, I, 1.) Voulez-vous voir la force souveraine du Fils de Dieu ? Toutes choses ont été faites... | |
 | Henri Troyat - 1995 - 584 pages
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 | Nina G. Garsoïan - 716 pages
...par le Christ, il est évident que le Christ est le Dieu Verbe, comme le proclame l'évangéliste: «Au commencement était le Verbe et le Verbe était en Dieu et le Verbe était Dieu. Il était au commencement avec Dieu. Tout fut fait par lui» (Jn, i,l-3). Et Paul prêche la même chose et dit:... | |
 | Karl Heinz Bohrer - 2000 - 274 pages
...cette mesure, pour la sémantique du temps esthétique proposée ici, la phrase initiale de l'évangile selon saint Jean « Au commencement était le verbe et le verbe était en Dieu et Dieu était le verbe », ne s'applique pas. Le verbe est au contraire, dans tous les cas, ce qu'il... | |
 | Luigi Pulci - 2001 - 900 pages
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 | Pascale Bloch - 2002 - 675 pages
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 | François Gramusset - 2003 - 188 pages
...Fantastique dans les nouvelles de Cortâ^af en paraphrasant à sa manière ces mots du début de l'Evangile selon saint Jean: Au commencement était le Verbe, et le Verbe était avec Dieu, et le Verbe était Dieu. Tout fut par lui et sans lui, rien ne fut. Ce qui fut en lui était... | |
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Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu. 
