 | Jean-François de La Harpe - 1839 - 464 pages
...trois vers qui ne sont qu'une déclamation vide de sens, et qui forment une très-mauvaise transition. Fais sentir ta vengeance à ceux dont l'avarice Sur...va chercher son supplice, Hélas ! prêts à périr f adressent-ils leurs vœux t Ils regardent le ciel, secours des malheureux, etc. A quel propos appeler... | |
 | Jean-François de La Harpe - 1839 - 468 pages
...sont qu'une déclamation vide de sens , et qui forment une très-mauvaise transition. Fais sentir la vengeance à ceux dont l'avarice Sur ton perfide sein va chercher son supplice , Hélas ! préts à périr t'adressent-ils leurs vaux t Ils regardent le ciel, secours des malheureux, etc.... | |
 | François Noel - 1840 - 652 pages
...je t'attends, tu reviens tous les jours : Ert-ce moi qui t'appelle, et qui règle ton cours? Et toi dont le courroux veut engloutir la terre, Mer terrible,...resserre? Pour forcer ta prison tu fais de vains efforts; Ij râpe de tes flot* expire sur tes bords. Fïig sentir ta vengeance îi ceux dont l'avarice <nr ion... | |
 | Jean-François de La Harpe - 1840 - 718 pages
...je t'attends; tu reviens tous les jours. Est-ce moi qui t'appelle et qui règle ton cours? Et toi, dont le courroux veut engloutir la terre, Mer terrible, en ton lit quelle main le resserre? Pour forcer ta prison tu fais de vains efforts , La rage de tes flots expire sur tes bords.... | |
 | Jean-François de La Harpe - 1840 - 732 pages
...je t'attends ; tu reviens tous les Jours. Est-ce moi qui l'appelle et qui règle ton cours? Et toi, dont le courroux veut engloutir la terre, Mer terrible, en ton lit quelle mai» le resserre? Pour forcer ta prison tu fais de vains efforts , La rage de tes flots expire sur... | |
 | Charles Jean Delille - 1841 - 474 pages
...je t'attends, tu reviens tous les jours : Est-ce moi qui t'appelle et qui règle ton cours? Et toi dont le courroux veut engloutir la terre, Mer terrible,...Hélas ! prêts à périr, t'adressent-ils leurs vœux ? IIs regardent le ciel, secours des malheureux. La nature, qui parle, en ce péril extrême, Leur... | |
 | Prosper Poitevin - 1841 - 692 pages
...qui règle ton cours ? Et toi dont le courroux veut engloutir la terre , Mer terrible, en ton sein quelle main te resserre? Pour forcer ta prison tu...bords. Fais sentir ta vengeance à ceux dont l'avarice • RACINE (Louis) naquit à Paris en 1692. Boileau voulut inutilement le détourner de la poésie.... | |
 | René Trédos - 1841 - 582 pages
...éclairent l'esprit comme un flambeau nous éclaire. Louis Racine a dit à la mer : Pour forcer la prison tu fais de vains efforts; La rage de tes flots expire sur tes bords. Il ya là trois mots employés métaphoriquement ; mais que la réflexion s'y arrête un instant, et... | |
 | 1842 - 498 pages
...je t'attends ; tu reviens tous les jours : Est-ce moi qui t'appelle et qui règle ton cours ? Et toi dont le courroux veut engloutir la terre, Mer terrible,...ton perfide sein va chercher son supplice. Hélas ! près de périr, t'adressent-ils leurs vœux ; Ils regardent le ciel, secours des malheureux. La... | |
 | G. H. F. de Castres de Tersac - 1843 - 408 pages
...t'appelé, et qui règle ton cours? Et toi, dont le courroux veut engloutir la terre, Mer terrible, dans ton lit quelle main te resserre? Pour forcer ta prison...chercher son supplice. Hélas ! prêts à périr, 3 t'adressent-ils leurs voeux ? Ils regardent le Ciel, secours des malheureux. Le Dieu qu'il faut croire;... | |
| |
... l'aurore, admirable flambeau, Astre toujours le même, astre toujours nouveau, Par quel ordre, ô soleil, viens-tu du sein de l'onde Nous rendre les rayons de ta clarté féconde? Tous les jours je t'attends, tu reviens tous les jours : Est-ce moi... 
