... les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient, et je ne m'en apercevais pas; je suivais avec anxiété ma pensée, qui, de couche en couche, descendait vers le fond de ma conscience, et dissipant l'une après l'autre toutes les illusions... La foi - Page 167by Eugène Michaud - 1870 - 372 pagesFull view - About this book
| Paul Albert - 1891 - 366 pages
...promener : je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...ma conscience, et, dissipant l'une après l'autre toules les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment... | |
| 1897 - 702 pages
...soirée de décembre où le voile qui me dérobait à moi-même ma propre incrédulité fut déchiré.... Les heures de la nuit s'écoulaient et je ne m'en...après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusquelà dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. En vain, je... | |
| abbé Georges Frémont - 1900 - 76 pages
...après l'heure du sommeil j'avais coutume de me promener ; je vois encore celte lune à demi-voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalle les...après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. « En vain,... | |
| William James - 1906 - 488 pages
...après l'heure du sommeil j'avais coutume de me promener ; je vois encore cette lune à demi-voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalle les...après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. » En vain... | |
| Alphonse Chide - 1908 - 344 pages
...promener ; je vois encore cette lune à demi-voilée par les nuages, qui en éclairait, par intervalles, les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient...après l'autre, toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait, de moment en moment, les détours plus visibles. En vain,... | |
| Georges Pellissier - 1921 - 582 pages
...promener; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. En vain je... | |
| Jean Giraud - 1927 - 228 pages
...soirée de décembre où le voile qui me dérobait à moi-même ma propre incrédulité fut déchiré... Les heures de la nuit s'écoulaient et je ne m'en...couche descendait vers le fond de ma conscience... En vain je m'attachais à ces croyances dernières comme un naufragé aux débris de son navire...,... | |
| 1876 - 1154 pages
...dans le même néant. Le dénuement de son âme le faisait cruellement souffrir. « Par interpensée qui, de couche en "couche, descendait vers le fond...après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. En -vain je... | |
| Université catholique de Louvain (1835-1969). Institut supérieur de philosophie - 1897 - 554 pages
...promener; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient...après l'autre, toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait, d'un moment à l'autre, les détours plus visibles. En vain... | |
| Société d'agriculture, commerce, sciences et arts de la Marne (France) - 1880 - 1030 pages
...promener; je vois encore cette lune, à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. En vain je... | |
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