| Jean-Jacques Rousseau - 1865 - 410 pages
...vécu, tant été moi, si j'ose ainsi dire, que dans ceux que j'ai faits seul et à pied. La marche a quelque chose qui anime et avive mes idées : je ne...que je gagne en marchant, la liberté du cabaret, l'éloignement de tout se qui me fait sentir ma dépendance , de tout ce qui me rappelle à ma situation... | |
| Louis Claude Adolphe Motard - 1869 - 854 pages
...nées et perdues pendant ses voyages : « La marche, dit-il, a quelque « chose qui anime et avive nos idées : je ne puis presque « penser quand je reste...corps soit « en branle, pour y mettre mon esprit. » Avant lui Cicéron avait écrit : Qitidquid conficio aut cogito, in ambulationis \) Voyez Lnnde,... | |
| Louis Joseph Désiré Fleury - 1872 - 344 pages
...toutes les fonctions en reçoivent une bienfaisante stimulation. «La marche, dit J.-J. Rousseau, a quelque chose qui anime et avive mes idées; je ne...quand je reste en place, il faut que mon corps soit en braule pour y mettre mon esprit. » Par elle-même, et en nousjjtransportant dans des siles nouveaux... | |
| Marc Monnier - 1874 - 536 pages
...partait à pied < par un beau temps , dans un beau pays, » sans être pressé. < Il faut, disait-il, que mon corps soit en branle pour y mettre mon esprit....que je gagne en marchant, la liberté du cabaret, l'éloignement de tout ce qui me fait sentir ma dépendance, de tout ce qui me rappelle à ma situation,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1876 - 708 pages
...vécu, tant été moi, si j'ose ainsi dire, que dans ceux que j'ai faits seul et à pied. La marche a quelque chose qui anime et avive mes idées : je ne...que je gagne en marchant, la liberté du cabaret, l'éloignement de tout ce qui me fait sentir ma dépendance, de tout ce qui me rappelle à ma situation,... | |
| André Theodore Brochard - 1876 - 270 pages
...Confessions : « La marche a « quelque chose qui anime et qui avive mes idées; « je ne puis presque plus penser quand je reste en « place. Il faut que mon corps soit en branle pour y « mettre mon esprit. » De tous les exercices auxquels il convient le plus de se livrer sur le bord de l'Océan, la promenade... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1878 - 678 pages
...idées, froides et mortes dans le cabinet, s'animaient et prenaient leur essor en lui : «La marche a quelque chose qui anime et avive mes idées; je ne...agréables, le grand air, le grand appétit, la bonne santé quo je gagne en marchant, la liberté du cabaret. l'éloignement de tout ce qui me fait sentir ma dépendance,... | |
| 1882 - 640 pages
...confessions : La marche a quelque chose qui anime et qui avive nos idées, je ne puis presque plus penser quand je reste en place. Il faut que mon corps soit en branle pour y mettre mon esprit. » Les promenades en mer sont un des plus grands attraits du baigneur et ne nécessitent aucun effort.... | |
| Aimé Riant - 1883 - 282 pages
...a quelque chose qui anime et avive ses idées : « Je ne puis, dit-il, presque penser quand jereste en place; il faut que mon corps soit en branle pour y mettre mon esprit. i Beethoven aimait à composer en se promenant dans la campagne; c'est là qu'il a trouvé ses plus... | |
| William Howitt - 1888 - 412 pages
...crux voyages que j'ai fails seul et a pied. La marche a quelque chose qui anime et avive mes idees ; je ne puis presque penser quand je reste en place...esprit. La vue de la campagne, la succession des aspects agreables, le grand air, le grand appeal, la bonne sanle que je gagne en marcliant, la liberte du cabaret,... | |
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