| Société d'émulation du Doubs, Besançon - 1865 - 492 pages
...l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. »...j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec elles vers mon enfance, ma famille, mon pays, tout ce qui m'était cher et sacré : l'inflexible... | |
| 1865 - 1036 pages
...l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient «jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. »...débris de son navire; en vain, épouvanté du vide in« connu dans lequel j'allais flolter, je me rejetais pour la dernière a lois vers mon enfance,... | |
| Émile Saisset - 1865 - 412 pages
...l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. »...débris de son navire ; en vain, épouvanté du vide énorme dans lequel j'allais rester, je me rejetais pour la dernière fois avec elles vers mon enfance,... | |
| François Victor Roger - 1865 - 586 pages
...l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait, de moment en moment, les détours plus visibles. En...débris de son navire ; en vain, épouvanté du vide immense dans lequel j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec elles vers mon enfance,... | |
| 1865 - 752 pages
...l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jiisqnr« là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les « détours plus visibles. » « En vain je m'attachais aces croyances dernières, comme « un naufragé aux débris de son navire ; en vain, épouvanté du... | |
| Hippolyte Taine - 1868 - 406 pages
...l'une après l'autre toutes les illusions qui m'eu avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles ! En...j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec elles vers mon enfance, ma famille, mon pays, tout ce qui m'était cher et sacré ; l'inflexible... | |
| Etienne Vacherot - 1869 - 488 pages
...l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. »...j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec elles vers mon enfance, ma famille, mon pays, tout ce qui m'était cher et sacré : l'inflexible... | |
| Eugène Michaud - 1870 - 846 pages
...l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-lù dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. «...j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec elles vers mon enfance, ma famille, mon pays, tout ce qui m'était cher et sacré; l'inflexible... | |
| abbé Émile Ferdinand Xavier Castan - 1871 - 456 pages
...après l'autre toutes les » illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la > vue, m'en rendait de moment en moment les » détours plus visibles. « En vain je m'attachais à ces croyances der» nières comme un naufragé aux débris de son » navire ; en vain épouvanté du vide inconnu... | |
| 1876 - 1150 pages
...m'en avaient jusque-là dérobe la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visiblps. En vain je m'attachais à ces croyances dernières...j'allais flotter, je me rejetais pour la dernière fois avec elles vers mon enfance, ma famille, mon pays, tout ce qui m'était cher et sacré; l'inflexible... | |
| |