| Gustave Charlier - 1912 - 440 pages
...me surprenoit souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et' le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléoient aux mouvements internes que la rêverie éteignoit en moi, et suftisoient pour me faire... | |
| George-Lespinasse Fonsegrive - 1913 - 68 pages
...par intervalles, frappant sans relâche mes oreilles et mes yeux, suppléaient aux mouvements intimes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient...plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. » C'est un état « où l'âme trouve une assiette assez solide pour s'y reposer tout entière, et... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1914 - 80 pages
...me surprenoit souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléoient aux mouvements internes que la rêverie étetgnoit en moi, et suffisoient pour me faire... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1920 - 244 pages
...surprenait souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et le re- 25 flux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans...avec plaisir mon existence, sans prendre la peine ,0 de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des... | |
| François Mentré - 1920 - 308 pages
...a si bien décrite dans les Rêveries du promeneur solitaire : « Le flux et le reflux de l'eau... suppléaient aux mouvements internes que la rêverie...plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser ('). » Pourtant Rousseau raisonne et même abuse du raisonnement : tels de ses ouvrages comme la Lettre... | |
| François Mentré - 1920 - 314 pages
...a si bien décrite dans les Rêveries du promeneur solitaire : « Le flux et le reflux de l'eau... suppléaient aux mouvements internes que la rêverie...plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser ('). » Pourtant Rousseau raisonne et même abuse du raisonnement : tels de ses ouvrages comme la Lettre... | |
| Henri Delacroix - 1922 - 490 pages
...le caractère musical de certaines dé ses extases. « Le flux elle reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans...plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. » (Rêveries, 5' promenade, p. 293.) (3) < La musique trouve son emploi dans une vie basée sur quelques... | |
| Henri Delacroix - 1922 - 486 pages
...le caractère musical de certaines de ses extases. « Ic flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans...suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éleignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la... | |
| Marcel Braunschvig - 1926 - 864 pages
...sans relâche mon oreille el mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignail en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre 1 la peine de penser. De lemps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1927 - 340 pages
...me surprenoit souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléoient aux mouvemens internes que la rêverie éteignoit en moi, et sufflsoient pour me faire... | |
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