...use inscnsi\i0 Oraison funèbre du grand COKDÉ; ibid. p. 537 i ^38. » bili'té , demeureront prives éternellement du plus » grand bien de la vie humaine, c'est-à-dire , des » douceurs de la societé. « Jamais homme ne les goûta mieux que le » prince dont nous parlons; jamais homme ne crai»...

...communiquer davantage, comme une fontaine publique qu'on élève pour la répandre. Les cœurs sont à ce prix : et les grands dont la bonté n'est pas le partage,...juste punition de leur dédaigneuse insensibilité ,demeurerontprivés éternellement du plus graud bien delà vie humaine, c'est-à-dire, des douceurs...

...davantage , comme une fontaine publique qu'on élève pour la répandrc. Les cœurs soûl à ce pris. ; et les grands dont la bonté n'est pas le partage,...mieux que le prince dont nous parlons : jamais homme nç craignit moins que la familiarité blessât le respect. Est-ce là celui qui forçait les villes...

...communiquer davantage, comme une fontaine publique qu'on élève pour la répandre. Les cœurs sont à ce prix; et les grands dont la bonté n'est pas le partage,...insensibilité, demeureront privés éternellement du grand bien de la vie humaine, c'est-à-dire des douceurs de la société. Jamais homme ne les goûta...

...communiquer davantage, comme une fontaine publique qu'on élève pour la répandre. Les cœurs sont à ce prix : et les grands dont la bonté n'est pas le partage,...des douceurs de la société. Jamais homme ne les goûla mieux que le prince dont nous parlons : jamais homme ne craignit moins que la familiarité blessât...

...communiquer davantage, comme une fontaine publique qu'on élève pour la répandre. Les cœurs sont à ce prix , et les grands dont la bonté n'est pas le partage...insensibilité, demeureront privés éternellement du grand bien de la vie humaine, c'est-à-dire des douceurs de la société. Jamais homme ne les goûta...

...communiquer davantage, comme une fon" laine publique qu'on élève pour la répandre. Les cœurs sont à ce •prix; et les grands, dont la bonté n'est pas le...leur dédaigneuse insensibilité, demeureront privés 1 éternellement du plus grand bien de la vie humaine , c'est-à-dire ' des douceurs de la société....

...bonté n'est pas le partage, par uno juste punition de sa dédaigneuse insensibilité, demeure privé du plus grand bien de la vie humaine, c'est-à-dire des douceurs de la société. C'est trop aimer quand on en meurt. Ce proverbe est du moyen âge, dont il atteste la simplicité....

...attrait que nous avons en nous-même pour gagner les autres hommes. Les cœurs sont à ce prix, et celui dont la bonté n'est pas le partage, par une juste punition de sa dédaigneuse insensibilité , demeure privé du plus grand bien de la vie humaine, c'est-à-dire...

...communiquer davantage , comme une fontaine publique qu'on élève pour la répandre. Les cœurs sont à ce prix ; et les grands dont la bonté n'est pas le partage...de la société. Jamais homme ne les goûta mieux quele prince dont nous parlons; jamais homme ne craignit moins que la familiarité blessât le respect....