J'ai cru que la calomnie avait quelque chose de trop bas et de trop noir pour la mettre dans la bouche d'une princesse qui a d'ailleurs des sentiments si nobles et si vertueux. Théâtre complet de J. Racine - Page 493by Jean Racine, Louis-Simon Auger - 1851 - 663 pagesFull view - About this book
| Université de Bordeaux (1441-1970). Faculté des lettres et sciences humaines - 1889 - 818 pages
...pas par Phèdre elle-même, comme l'avaient fait Euripide et Sénèque, mais par Œnone,il nous dit que « la calomnie avait quelque chose de trop bas...d'ailleurs des sentiments si nobles et si vertueux. » Puis il ajoute : « Cette bassesse m'a paru plus convenable à une nourrice, qui pouvait avoir des... | |
| Jean Racine - 1895 - 736 pages
...anciens, où elle se résout d'elle-même à accuser Hippolyte. J'ai cru que la calomnie avait quoique chose de trop bas et de trop noir pour la mettre dans...nobles et si vertueux. Cette bassesse m'a paru plus contenable à une nourrice, qui pouvait avoir des inclinations plus serviles, et qui néanmoins n'entreprend... | |
| Alfred Schreiter - 1899 - 138 pages
...tragedies des .anciens, oü eile se resout d'elle-meme ä accuser Hippolyte. J'ai cru que la calmnnie avait quelque chose de trop bas et de trop noir pour...d'ailleurs des sentiments si nobles et si vertueux." — Die Anklage wird durch Oenone gegen Hippolyt geführt. Ausserdem hat Phädra nicht direkt ihre... | |
| 1909 - 876 pages
...qu'elle n'est dans les tragédies des anciens, où elle se résout d'elle-même à accuser Hippolyle. J'ai cru que la calomnie avait quelque chose de trop...inclinations plus serviles, et qui néanmoins n'entreprend celte fausse accusation que pour sauver la vie et l'honneur de sa maîtresse. » Cette idée de la... | |
| Alexander von Bormann - 2006 - 460 pages
...müssen das moralische Bad ausbaden. Racine selbst über seine in dieser Hinsicht gewichtigste Änderung: J'ai cru que la calomnie avait quelque chose de trop...vertueux. Cette bassesse m'a paru plus convenable [...] une nourrice, qui pouvait avoir des inclinations plus serviles, et qui neanmoins n'entreprend... | |
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