| Victor Cousin - 1846 - 366 pages
...Savoyard ces tristes paroles (Contrat social , l. iv, chap. 8) : « II ya une profession de foi purement civile dont il appartient au Souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité , sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen... | |
| Pierre Leroux - 1846 - 192 pages
...il s'exprime sur ce point dans le Contrat Social : «II ya une profession de foi purement ci; vile dont il appartient au souverain de fixer : les articles, non pas précisément comme » dogmes de religion, mais comme sentiments » de sociabilité , sans lesquels il est impossible » d'être bon... | |
| Pierre Leroux - 1848 - 800 pages
...il s'exprime sur ce point dans le Contrat Social : «II ya une profession de foi purement ci; vile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme » dogmes de religion, mais comme sentiments t de sociabilité , sans lesquels il est impossible » d'être bon... | |
| Jean-Victor de Decker - 1851 - 442 pages
...formuler des dogmes et de fonder des croyances. « II ya donc, dit-il, une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion , mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen,... | |
| François Huet - 1853 - 506 pages
...8. propose les caractères d'un véritable culte : « II ya, dit-il, une profession de foi purement civile, dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen... | |
| József Eötvös (báró) - 1854 - 476 pages
...beren Slnna^mc er feine 3(nge^örigen jroingt. „Il ya une profession de foi purement civile doiil il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentimens de sociabilité. — — Sans pouvoir obliger personne à les croire,... | |
| Ernest Bersot - 1855 - 372 pages
...naturelle, il suffit d'aller jusqu'à la fin de son livre : II ya (3) une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen... | |
| Victor Cousin - 1856 - 390 pages
...savogard ces tristes paroles, Contrat sociat, I. IV, chap. vin : « Il ya une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion. mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1856 - 674 pages
...aflkire, pourvu qu'ils soient bons citoyens dans celle-ci. Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles , non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentimens de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen... | |
| Victor Cousin - 1856 - 380 pages
...tristes paroles, Contrat social, I. IV, chap. vin : « II ya une profession de foi purement rivile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen... | |
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