| Théodore-Henri Barrau - 1875 - 366 pages
...simple, et n'est jamais incompatible avec la naïveté et le naturel. Boileau a dit : Quoi que TOUS écriviez, évitez la bassesse; Le style le moins noble a pourtant sa noblesse. On parvient à tout dire noblement, soit par d'heureuses circonlocutions, soit par d'habiles préparations,... | |
| Paul Albert - 1878 - 482 pages
...dans sa nature. Au seul souvenir de ces saturnales de la Muse, il semble encore frissonner d'effroi. Au mépris du bon sens, le burlesque effronté Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté. On ne vit plus en vers que pointes triviales; Le Parnasse parla le langage des halles. La licence à... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1881 - 544 pages
...1 §on livre, aimé du ciel, et chéri des lecteurs, st souvent chez Barbin entouré d'acheteurs. 2 Quoi que vous écriviez, évitez la bassesse : Le style le moins noble a pourtant sa noblesse, ^.u mépris du bon sens, 3 le burlesque effronté * Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté... | |
| Henri Cordier - 1883 - 206 pages
...(1880), d. rel. mar. r., 8 i r. 213. — RÉPONSE D'UN PARISIEN, à l'épître de Figaro aux Parisiens. Au mépris du bon sens, le burlesque effronté Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté. BOILEAU. Prix, douze sols. A Amsterdam, Et se trouvee Paris, Chei les Marchands qui vendent les Nouveautés,... | |
| Henri Cordier - 1883 - 178 pages
...d. rel. mar. r., 8 fr. 213. — RÉPONSE D'UN PARISIEN, à l'épître de Figaro aux Parisiens. 4« mépris du bon sens, le burlesque effronté Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté. BOILEAU. Prix, douze sols. A Amsterdam, Et se trouveà Paris, Chei les Marchands qui vendent les Nouveautés.... | |
| Louis Etienne - 1884 - 630 pages
...son repos et pour la science, il eût mieux fait d'y rester : mais sa patrie le rappelait, il y 1. Au mépris du bon sens, le burlesque effronté Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté : On ne vit plus en vers que pointes triviales..., etc. BOILEAII, Art poétique, en. i. revint ; son... | |
| Marie Bonnange - 1884 - 400 pages
...basses-cours. Jamais un lourdaud, quoi qu'il fasse, Ne saurait passer pour galani, (LA FoNTAINE.) Quai que vous écriviez, évitez la bassesse, Le style le moins noble a pourtant sa noblesse. (BoILEAU.I » K. Le tigre a le poil ras, d'un jaune vif en dessus et rayé irrégulièrement de noir... | |
| Nicolas Boileau, Nicolas Boileau Despréaux, Charles Louandre - 1886 - 548 pages
...! Son livre, aimé du ciel, et chéri des lecteurs, Est souvent chez Barbin entouré d'acheteurs J. Quoi que vous écriviez, évitez la bassesse : Le...* Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté • On ne vit plus en vers que pointes triviales; Le Parnasse parla le langage des halles; La licence... | |
| Ferdinand Loise - 1887 - 568 pages
...poèmes d'alors. N'allons pas juger Scarron d'après Boileau qui écrivait dans son Art poétique : Au mépris du bon sens, le burlesque effronté Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté. On ne vit plus en vers que pointes triviales ; Le Parnasse parla le langage des halles. La licence... | |
| Victor Delaporte - 1888 - 356 pages
...sévère ! Son livre, aimé du ciel et chéri des lecteurs, Est souvent chez Barbin entouré d'acheteurs. Quoi que vous écriviez, évitez la bassesse : Le...(') Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté : On ne vit plus en vers que pointes triviales ; Le Parnasse parla le langage des halles ; La licence... | |
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