| Jean de La Bruyère - 1847 - 544 pages
...par tout ce qu'ils appelaient délicatesse , sentiments , tour et finesse d'expression ; ils étaient enfin parvenus à n'être plus entendus, et à ne s'entendre pas eux-mêmes. Il ne fallait, pour fournir à ces entretiens, ni bon sens, ni jugement, ni mémoire, ni la moindre capacité;... | |
| Molière - 1852 - 700 pages
...toujours suivies » de longs applaudissements. Par tout ce qu'ils appeloient déli» catesse, sentiments, et finesse d'expression, ils étoient enfin » parvenus...à n'être plus entendus, et à ne s'entendre pas eux» mêmes. Il ne falloit, pour servir à ces entrelions, ni bon » sens, ni mémoire, ni la moindre... | |
| Jacques Demogeot - 1852 - 684 pages
...applaudissements. Par tout ce qu'ils appelaient délicatesse , sentiment et finesse d'expression , ils étaient enfin parvenus à n'être plus entendus et à ne s'entendre pas eux-mêmes. 11 ne fallait, pour servir à ces entretiens, ni bon sens, ni mémoire, ni la moindre capacité; il... | |
| 1853 - 412 pages
...Par tout ce qu'ils appelaient « délicatesse , sentiment et tinesse d'expres« sioii , ils étaient enfin parvenus à n'être plus « entendus et à ne s'entendre pas eux-mêmes. « II ne fallait , pour servir à ces entretiens , ni « bon sens, ni mémoire, ni la moindre capa«... | |
| Jacques Demogeot - 1855 - 700 pages
...applaudissements. Par tout ce qu'ils appelaient délicatesse, sentiment et finesse d'expression, ils étaient enfin parvenus à n'être plus entendus et à ne s'entendre pas eux-mêmes. Il ne fallait, pour servir à ces entretiens , ni bon sens, ni mémoire, ni la moindre capacité; il fallait... | |
| Charles Augustin Henry - 1856 - 1008 pages
...applaudissements. Par tout ce qu'ils appelaient délicatesse , sentiment et finesse d'expression , ils étaient enfin parvenus à n'être plus entendus et à ne s'entendre pas eux-mêmes. Il ne fallait , pour servir à ces entretiens , ni bon sens, ni mémoire, ni la moindre capacité; il fallait... | |
| Molière - 1857 - 460 pages
...applaudissements. Par tout ce qu'ils appelaient délicatesse, sentiment et finesse d'expression, ils étaient enfin parvenus à n'être plus entendus et à ne s'entendre pas eux-mêmes. Il ne fallait, pour servir à ces entretiens, ni bon sens, ni mémoire, ni la moindre capacité ; il fallait... | |
| Jacques Claude Demogeot - 1860 - 700 pages
...applaudissements. Par tout ce qu'ils appelaient délicatesse, sentiment et finesse d'expression, ils étaient enfin parvenus à n'être plus entendus et à ne s'entendre pas eux-mêmes. Il ne fallait pour servir à ces entreliens, ni bon sens, ni mémoire, ni la moindre capacité; il fallait... | |
| Molière - 1863 - 600 pages
...toujours suivies de longs applaudissements. Par tout ce qu'ils appeloîent délicatesse, sentiments et finesse d'expression, ils étoient enfin parvenus...entendus et à ne s'entendre pas eux-mêmes. Il ne falloit, pour servir à ces entretiens, ni bon sens, ni mémoire, ni la moindre capacité; il falloit... | |
| Jean de La Bruyère - 1864 - 640 pages
...par tout ce qu'ils appelaient délicatesse, sentiments, tour et finesse d'expression, ils étaient enfin parvenus à n'être plus entendus, et à ne s'entendre pas eux-mêmes. Il ne fallait , pour fournir à ces entretiens , ni bon sens , ni jugement , ni mémoire , ni la moindre... | |
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