| François Noel - 1835 - 596 pages
...bout de ma carrière , Chez toi je joindrai mes aïenx. Muses , qui dans ce lien champêtre Avec soin me fîtes nourrir; Beaux arbres , qui m'avez vu naître , Bientôt vous me verrez mourir. Cependant du frais de votre ombre II faut sagement profiter, Sans regret prêt a vous quitter Four... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 420 pages
...N'entretiens jamais ma pensée Que du murmure tic ton eau. Muscs, qui dans ce lien champêtre Avec soin me fîtes nourrir; Beaux arbres , qui m'avez vu naître , Bientôt vous me verrez mourir. La page la plus rêveuse d'Young ne peut être comparée à cette page de Rousseau : « Quand le soir... | |
| François-René de Chateaubriand - 1836 - 392 pages
...jamais ma pensée Que du murmure de ton eau. Muses, qui dans ce lieu champêtre Avec soin me fltes nourrir ; Beaux arbres, qui m'avez vu naître. Bientôt vous me verrez mourir. La page la plus rêveuse d'Young ne peut être comparée à cette page de Rousseau : " Quand le soir... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 418 pages
...ma carrière Chez toi je joindrai mes aïeux. Muses qui, dans ce lieu champêtre, Avec soin me fites nourrir ; Beaux arbres qui m'avez vu naître, Bientôt vous me verrez mourir. Et l'inimitable La Fontaine , comme il sait rêver aussi ! Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie... | |
| François Noel - 1840 - 652 pages
...ma carrière, Chez toi je joindrai mes aïeux. Muses, qui dans ce lieu champêtre Avec soin me files nourrir; beaux arbres, qui m'avez vu naître, Bientôt vous me verrez mourir. Cependant du frai» de votre ombre II faut sagement profiter, Sans regret prêt à vous quitter l'un... | |
| Prosper Poitevin - 1841 - 692 pages
...bout de ma carrière. Chez toi je joindrai mes ai'eux. Muses , qui dans ce lieu champêtre Avec soin me fîtes nourrir, Beaux arbres, qui m'avez vu naître Bientôt vous me verrez mourir ! Cependant du frais de votre ombre II faut sagement proflter, Sans regret , prêt à vous quitter... | |
| 1842 - 498 pages
...bout de ma carrière Chez toi je joindrai mes aïeux. Muses, qui dans ce lieu champêtre Avec soin me fîtes nourrir ; Beaux arbres qui m'avez vu naître, Bientôt vous me verrez mourir. Cependant du frais de votre ombre Il faut sagement profiter, Sans regret prêt à vous quitter Pour... | |
| G. H. F. de Castres de Tersac - 1843 - 408 pages
...bout de ma carrière. Chez toi je joindrai mes aïeux. Muses, qui, dans ce lieu champêtre, Avec soin me fîtes nourrir; Beaux arbres qui m'avez vu naître, Bientôt vous me verrez mourir. ХХШ. SBNEÇAI (Antoine Baaderoti). ©eneçoi, оиф ©nuce gefdjrieíen, itwb in Sftâcen ben 13.... | |
| Jacques Delille - 1844 - 586 pages
...Chaulieu ces vers pleins d'une si douce mélancolie : Muses qui, dans ce lieu champêtre, Arec soin me fîtes nourrir, Beaux arbres qui m'avez vu naître, Bientôt vous me verrez mourir. Ces contrastes de sensations moitié voluptueuses , moitié tristes , agitant l'âme en sens contraire... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1846 - 570 pages
...bout de ma carrière , Chez toi je joindrai mes aïeux. Muses , qui dans ce lieu champêtre Avec soin me fîtes nourrir, Beaux arbres qui m'avez vu naître, Bientôt vous me verrez mourir ! Et l'inimitable la Fontaine , comme il sait rêver aussi ! Que je peigne en mes vers quelque rive... | |
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