 | Karl Julius Ploetz, Carl Ploetz - 1894 - 846 pages
...glorieux événements, il ne laisse rien à la fortune de ce que le conseil et la prudence humaine lui peuvent ôter. Déjà frémissait dans son camp...déconcerté; déjà prenait l'essor, pour se sauver dans ¡es montagnes, cet aigle dont le vol hardi avait d'abord effrayé nos [«rinces. Ces foudres de bronze... | |
 | Emile Dardart - 1905 - 770 pages
...grammatical, qui veut qu'on énonce d'abord le sujet, ensuite le verbe, puis le complément direct, etc. « Déjà frémissait dans son camp, l'ennemi confus...déconcerté ; déjà prenait l'essor, pour se sauver dans ses montagnes, cet aigle dont le vol liardi avait d'abord effrayé nos provinces. » (Fléchier.) Les... | |
 | Wilhelm Viëtor - 1919 - 514 pages
...inalg? 5 les seductions du theätre, de couler de sä plume.» Revue de Paris, IV 12, 697. «Dejä prenait l'essor, pour se sauver dans les montagnes, cet aigle dont le vol hardi avait d'abord effraye nos provinces» (Flechier). «L'ensemble des conditions auxquelles doit sä forme un tronc... | |
 | Académie nationale de Reims - 1881 - 964 pages
...importune; » et encore cet autre exemple du même auteur: « Déjà prenait l'essor, pour se sauver vers les montagnes, cet aigle dont le vol hardi avait d'abord effrayé nos provinces. » Quand les périodes ont des membres égaux et un membre inégal, le membre inégal se présente... | |
 | 1870 - 1472 pages
...Fle"chier in Turenne's Leichenrede : Dejä fre"missait dans son camp l'ennemi confus et d<'concerte". Dejä prenait l'essor pour se sauver dans les montagnes cet aigle dont le vol hardi avait d'abord effraye* nos provinces. S. 273 b. Indess genügt hier noch keineswegs der intransitive Charakter der... | |
 | Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique - 1883 - 1026 pages
...(Mirabeau). La phrase suivante de Fléchier est classique : Déjà prenait l'essor, pour se sauver vers les montagnes, cet aigle dont le vol hardi avait d'abord effrayé nos provinces. Prenait l'essor est l'idée principale. « C'est celle, dit Condillac, qu'il l'aul peindre sur le devant... | |
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Déjà frémissait dans son camp l'ennemi confus et déconcerté. Déjà prenait l'essor pour se sauver dans les montagnes cet aigle, dont le vol hardi avait d'abord effrayé nos provinces. 
