| Félicité Robert de Lamennais - 1828 - 478 pages
...«prix de la vertu , il peint trait pour trait Jé» sus-Christ : la ressemblance est si frappante «que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est • pas possible de s'y tromper (i). Quels pré(i) La ressemblance est en effet très-frappante. Me» jugés, quel aveuglement ne faut-il... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1830 - 488 pages
...prix de la vertu , il peint trait pour trait Jésus-Christ. La ressemblance est si frappante , que tous les Pères l'ont sentie , et qu'il n'est pas...faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque au fils de Marie ? Quelle distance de l'un à l'autre ! Socrate , mourant sans douleur... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 450 pages
...préjugés , quel aveuglement « ne faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronis« que au fils de Marie ! Quelle distance de l'un à l'autre ! Socrate « mourant sans douleurs, sans ignominie, soutint aisément * jusqu'au bout son personnage ; et , si cette facile mort... | |
| Nicolas Sylvestre Bergier - 1830 - 744 pages
...les prix de la vertu , il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie , et qu'il n'est pas possible de s'y tromper! u Quels préjugés , quel aveuglement ne faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque... | |
| 1831 - 694 pages
...aveuglement ou quelle mauvaise foi » ne faut-il pas pour avoir osé comparer le fils de Sophro» nisque au fils de Marie ! Quelle distance de l'un à l'autre...Socrate, mourant sans douleur, sans ignominie, soutint » jusqu'au bout son personnage ; et si cette facile mort n'eût » honoré sa vie, on douterait si... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1378 pages
...n'est pas à la vérité me faire dire d( i hcnisies, mais c'est me faire parler bien niaisement. « qu'il n'est pas possible de s'y tromper. Quels « préjugés , quel aveuglement ne faut-il poii; n avoir pour oser comparer le fils de Sophront« que au fils de Marie ! Quelle distance de l'an... | |
| 1834 - 1038 pages
...prix de la vertu , il peint trait pour trait Jésus-Christ * ; la ressemblance est si frappante , que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper. Quels préjugés, quel paraît l'avoir montré sous son véritable jour, dans ce peu de lignes : «M. Rousseau, dit-il , est... | |
| François Noel - 1835 - 596 pages
...les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ; la ressemblance est si frappante , que tous les pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible...faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque au fils de Marie! Quelle distance de l'un à l'autre! Socrate mourant sans douleur, sans... | |
| 1835 - 344 pages
...les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ; la resemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible...faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque au fils de Marie ! Quelle distance de l'un à l'autre ! Socrate mourant sans douleur,... | |
| Eugène Lerminier - 1835 - 442 pages
...aveuglement, ou quelle mauvaise foi ne » faut-il pas pour avoir osé comparer le fils de » Sophronisque au fils de Marie? Quelle distance » de l'un à l'autre! Socrate, mourant sans dou» leur, sans ignominie, soutient jusqu'au bout » son personnage; et, si cette facile mort n'eût... | |
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