Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle ; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention , et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se... Méditations sur la religion chrétienne - Page 130by François Pierre G. Guizot - 1868Full view - About this book
| Charles Bénard - 1857 - 718 pages
...tout en avouant qu'elles sont générales et uon spéciales à cetto méthode. (Voy. 3* part., ch. 2.) précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en ses jugements que ce qui xe présente si clairement et si distinctement que l'on n'ait aucune occasion... | |
| Otto Duesberg - 1858 - 330 pages
...Leur « premier précepte était de ne jamais admettre aucune chose pour vraie qu'ils ne la connussent évidemment être telle, c'est-à-dire d'éviter soigneusement...prévention , et de ne comprendre rien de plus en leurs jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à leur esprit, qu'ils... | |
| Jean Félix Nourrisson - 1858 - 546 pages
...méthode. 1° La première était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie qu'il ne la connût évidemment être telle, c'està-dire d'éviter soigneusement...la prévention, et de ne comprendre rien de plus en ses jugements que ce qui se presenterait si clairement et si distinctement à son esprit qu'il n'eût... | |
| Antoine Arnauld - 1861 - 452 pages
...la seule analyse. La 1™ est de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, qu'on ne la connaisse évidemment être telle, c'est-à-dire d'éviter soigneusement...la prévention, et de ne comprendre rien de plus en ses jugements que ce qui se présente si clairement à l'esprit, qu'on n'ait aucune occasion de le... | |
| Victor Cousin - 1861 - 552 pages
...soigneusement la précipitation et la préven« tion, et de ne comprendre rien de plus en mesjuge« ments que ce qui se présenterait si clairement et si « distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune « occasion de le mettre en doute1. » Ainsi ce que recommande avant tout Descartes,... | |
| Victor Cousin - 1861 - 558 pages
...soigneusement la précipitation et la préven« lion, et de ne comprendre rien de plus en mes juge« ments que ce qui se présenterait si clairement et si « distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune « occasion de le mettre en doute1. » Ainsi ce que recommande avant tout Descartes,... | |
| Émile Saisset - 1862 - 510 pages
...saints canons de la philosophie : « Le premier précepte était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle,...présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second, de diviser chacune des difficultés... | |
| Emile Antoine Blampignon - 1862 - 410 pages
...Desearle* (Discours de la méthode, ch. ni). Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle;...présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second, de diviser chacune des difficultés... | |
| Émile Antoine Blampignon - 1862 - 410 pages
...DcNrurtc» (Discours de la méthode, ch. m). Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle;...présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second, de diviser chacune des difficultés... | |
| René Descartes - 1863 - 108 pages
...jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle ; c'est-à-dire, d'é\iter soigneusement la précipitation et la prévention,...présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second, de diviser chacune des difficultés... | |
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