| Paul Albert - 1891 - 366 pages
...l'heure du sommeil j'avais coutume de me promener : je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids...ma conscience, et, dissipant l'une après l'autre toules les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment... | |
| 1897 - 702 pages
...soirée de décembre où le voile qui me dérobait à moi-même ma propre incrédulité fut déchiré.... Les heures de la nuit s'écoulaient et je ne m'en...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusquelà dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
| Sir Mountstuart Elphinstone Grant Duff - 1898 - 356 pages
...l'heure du sommeil, j'avais coutume de me promener; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
| abbé Georges Frémont - 1900 - 76 pages
...promener ; je vois encore celte lune à demi-voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalle les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
| William James - 1906 - 488 pages
...promener ; je vois encore cette lune à demi-voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalle les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
| Georges Pellissier - 1921 - 582 pages
...l'heure du.Aommeil, j'avais coutume de me promener; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
| Jean Giraud - 1927 - 228 pages
...soirée de décembre où le voile qui me dérobait à moi-même ma propre incrédulité fut déchiré... Les heures de la nuit s'écoulaient et je ne m'en...couche descendait vers le fond de ma conscience... En vain je m'attachais à ces croyances dernières comme un naufragé aux débris de son navire...,... | |
| 1876 - 1154 pages
...dans le même néant. Le dénuement de son âme le faisait cruellement souffrir. « Par interpensée qui, de couche en "couche, descendait vers le fond...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
| Université catholique de Louvain (1835-1969). Institut supérieur de philosophie - 1897 - 554 pages
...l'heure du sommeil, j'avais coutume de me promener; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids...dissipant, l'une après l'autre, toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait, d'un moment à l'autre, les détours plus... | |
| Société d'agriculture, commerce, sciences et arts de la Marne (France) - 1880 - 1030 pages
...l'heure du sommeil, j'avais continué de me promener; je vois encore cette lune, à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
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