| 1876 - 768 pages
...supérieures, il n'aperçoive plus qu'une science, celle du beau. » Diotime termine ainsi son discours : « Je le demande, quelle ne serait pas la destinée d'un mortel à qui il serait donné de contempler le beau sans mélange, dans sa pureté et simplicité, non plus revêtu... | |
| Académie du Var, Toulon - 1855 - 722 pages
...choses dont la vue aujourd'hui te trouble, et dont la contemplation à tant de charme pour toi ? » Je le demande, quelle ne serait pas la destinée d'un mortel à qui il serait donné de contempler le beau sans mélange , dans sa pureté et simplicité , non plus revêtu... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1889 - 2106 pages
...prix à cette vie, c'est le spectacle de la beauté éternelle Que penser d'un mortel à qui il serait donné de contempler le beau sans mélange, dans sa pureté et sa simplicité, non plus revêtu de chair et de couleurs humaines et de vains agréments condamnés à périr : à... | |
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