 | Jacques Bénigne Bossuet - 1916 - 738 pages
...soldats, et il s'abandonne encore plus lui-même ; cette face autrefois si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre, il la présente...cheveux et la barbe, il ne dit mot, il ne souffle pas 4 ; c'est une pauvre brebis qui se laisse tondre. Venez, venez, camarade[s], dit cette soldatesque... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1917 - 570 pages
...soldats, et il s'abandonne encore plus lui-même : cette t'uce autrefois si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre. il la présente droite et immohile aux crachats de cette canaille*: on lui arrache les cheveux et la barbe, il ne dit mot*, il... | |
 | Auguste Bailly - 1921 - 228 pages
[ Sorry, this page's content is restricted ] | |
 | Edmond Estève, E. Guirand, René Harmand - 1921 - 516 pages
...et il s'aban- • donne encore plus lui-même : cette face autrefois si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre, il la présente droite et immobile aux crachats de celte canaille : on lui arrache les cheveux et la barbe; il ne dit mot, il ne souffle pas; c'est une... | |
 | Auguste Bailly - 1923 - 252 pages
...Passion de Jésus-Christ, et il nous dit : Cette face autrefois encore si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre, il la présente droite et immobile aux crachats de cette «anaille ; on lui arrache les cheveux et la barbe, il ne dit mot, il no souffle pas ; c'est une pauvre... | |
 | 1936 - 744 pages
[ Sorry, this page's content is restricted ] | |
 | 1882 - 1164 pages
...mains; on le veut souffleter, il tend les joues... Cette face autrefois si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre, il la présente...droite et immobile aux crachats de cette canaille. » Or, dit l'abbé Vaillant, ce mot ne se lit qu'une fois dans tous les sermons; et j'ajouterai, dans... | |
 | 1948 - 362 pages
[ Sorry, this page's content is restricted ] | |
 | Auguste Bailly - 1958 - 228 pages
[ Sorry, this page's content is restricted ] | |
| |
... on l'abandonne aux valets et aux soldats, et il s'abandonne encore plus lui-même. Cette face autrefois si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre, il la présente droite et immobile aux crachats de cette canaille ; on lui arrache... 
