| Réaume (M., Alexandre) - 1869 - 598 pages
...soldats, et il s'abandonne encore plus lui-même : cette face, autrefois si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre, il la présente...cette soldatesque insolente, voilà ce fou dans le corps de garde, qui s'imagine être roi des Juifs ; il faut lui mettre une couronne d'épines ; tradebat... | |
| Alexandre Réaume - 1869 - 592 pages
...majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre, il la présente drorte et immobile aux crachais de cette canaille. On lui arrache les cheveux et la...cette soldatesque insolente, voilà ce fou dans le corps de garde, qui s'imagine être roi des Juifs; il faut lui mettre une couronne d'épines ; tradebat... | |
| Pierre Frédéric Himonet - 1869 - 458 pages
...pour convaincu et garde le silence. Cette face autrefois si majestueuse, qui ravissait d'admiratidh le ciel et la terre, il la présente droite et immobile aux crachats de cette canaille. On lui accroche les cheveux et la barbe, il ne dit mot. On veut lui mettre une couronne d'épines, il la reçoit;... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1878 - 500 pages
...soldats , et il s'abandonne encore plus lui-même : cette face autrefois si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre , il la présente...tondre. Venez, venez, camarades, dit cette soldatesque fnsolente ; voilà ce fou dans le corps de garde , qui s'imagine être roi des Juifs; il faut lui mettre... | |
| Association scientifique de France - 1883 - 430 pages
...soldats, et il s'abandonne encore plus lui-même. Cette face autrefois si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre, il la présente...crachats de cette canaille; on lui arrache les cheveux cl la barbe, il ne dit mot, il ne souffle pas; c'est une pauvre brebis qui se laisse tondre, Venez,... | |
| Emile Deschanel - 1885 - 372 pages
...soldats, et il s'abandonne encore plus luimême. Celte face autrefois si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre, il la présente...canaille. On lui arrache les cheveux et la barbe, il ~he dit mot, il ne souffle pas : c'est une pauvre brebis qui se laisse tondre. « Venez, venez, cama»... | |
| Émile Auguste Étienne Martin- Deschanel - 1885 - 368 pages
...luimême. Cette face autrefois si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre, il Ja présente droite et immobile aux crachats de cette canaille. On lui arrache les cheveux et la barba, il ne dit mot, il ne souffle pas : c'est une pauvre brebis qui se laisse tondre. « Venez, venez,... | |
| Académie des Sciences, des Lettres et des Arts d'Amiens, France - 1888 - 416 pages
...chaire de Metz, en 1652, il dira du Christ : « Cette lace autrefois si majestueuse qui ravissait « en admiration le ciel et la terre, il la présente...droite et « immobile aux crachats de cette canaille. » Le mot n'écorche les oreilles que des faux délicats ; mais il fallait ces contrastes, ce heurt... | |
| Philippe Gille - 1890 - 370 pages
...soldats, et il s'abandonne encore plus luimême. Cette face autrefois si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre, il la présente...droite et immobile aux crachats de cette canaille... « Venez, venez, camarades, » dit cette soldatesque insolente, « voilà ce fou dans le corps de garde... | |
| Ferdinand Brunetière - 1893 - 450 pages
...soldats, et il s'abandonne encore plus lui-même. Cette face autrefois si majestueuse, qui ravissait en admiration le ciel et la terre, il la présente...arrache les cheveux et la barbe, il ne dit mot, il ne soufile pas; c'est une pauvre brebis qui se laisse tondre. Venez, venez, camarades, dit cette soldatesque... | |
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