| Saint-Marc Girardin - 1875 - 430 pages
...bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit; j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous...transports me faisait écrier quelquefois: 0 grand Être! ô grand Être ! sans pouvoir dire ni penser rien de plus 1 . » Quelle sublime méditation qui commence... | |
| Auguste Charles Henry - 1875 - 402 pages
...des êtres, s'y trouvait trop à l'étroit, j'étouffais dans l'univers : j'aurais voulu m'élancer dans l'infini : je crois que si j'eusse dévoilé...transports, me faisait écrier quelquefois : 0 grand Etre ! ô grand Etre ! sans pouvoir dire ni penser rien de plus. » Ainsi s'écoulaient dans un délire... | |
| Saint Marc Girardin - 1875 - 432 pages
...bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit; j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous...retenue, et qui dans l'agitation de mes transports mcfaisait écrier quelquefois: Ograiid Être! 11. 30 ô grand Être ! sans pouvoir dire ni penser rien... | |
| Ximénès Doudan - 1876 - 612 pages
...imagination dans l'espace ; mon cœur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvait trop à-l'étroit; j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'clancer...me faisait écrier quelquefois : « 0 grand Être! ô grand Être! » sans pouvoir dire ni penser rien de plus. » Tout le vague de la rêverie est empreint... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1878 - 348 pages
...des êtres s'y trouvait trop à l'étroit ; j'étouffais dans l'univers ; j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que, si j'eusse dévoilé...de mes transports, me faisait écrier quelquefois : « O grand Être ! ô grand Être ! » sans pouvoir dire ni penser rien de plus. Ainsi s'écoulaient... | |
| 1879 - 318 pages
...des êtres, s'y trouvait trop à l'étroit ; j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous...transports, me faisait écrier quelquefois : 0 grand Etre! sans pouvoir dire ni penser rien de plus ! "» C'est dans le jeu naturel des lois, dans leur... | |
| Eugène Lesbazeilles - 1884 - 324 pages
...bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit, j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous...qui, dans l'agitation de mes transports, me faisait m'écrier quelquefois : « 0 grand Être! ô grand Être! » sans pouvoir dire ni penser rien de plus.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1886 - 552 pages
...des êtres s'y trouvait trop à l'étroit ; j'étouffais dans l'univers; j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous...transports , me faisait écrier quelquefois, 0 grand Être ! ô grand Etre ! sans pouvoir dire ni penser rien de plus. Ainsi s'écoulaient dans un délire continuel... | |
| Albert Cahen - 1894 - 568 pages
...dans l'univers; j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que, si j'eusse dé•«ijlé 4«ns les mystères de la nature, je me serais senti dans...transports, me faisait écrier quelquefois : « 0 grand Ktre ! ô grand i_,tre ! » sans pouvoir dire ni penser rien de plus. Ainsi s'écoulaient dans un délire... | |
| Ernest Zyromski - 1896 - 353 pages
...des êtres s'y trouvait trop à l'étroit ; j'étoufTais dans l'univers ; j'aurais voulu me lancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serais scnli dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante extase à laquelle mon esprit se... | |
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