| Victor Cousin - 1861 - 558 pages
...la préven« lion, et de ne comprendre rien de plus en mes juge« ments que ce qui se présenterait si clairement et si « distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune « occasion de le mettre en doute1. » Ainsi ce que recommande avant tout Descartes, c'est de se faire en toutes choses des idées... | |
| Victor Cousin - 1861 - 552 pages
...la préven« tion, et de ne comprendre rien de plus en mesjuge« ments que ce qui se présenterait si clairement et si « distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune « occasion de le mettre en doute1. » Ainsi ce que recommande avant tout Descartes, c'est de se faire en toutes choses des idées... | |
| René Descartes - 1863 - 108 pages
...précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que...Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinesujets et de résoudre toutes les questions générales posées en forme. Après avoir joui... | |
| Charles-Edouard Brown-Séquard - 1863 - 764 pages
...prévention, et de ne « comprendre rien de plus dans mes jugements que ce qui se « présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, «...je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. » C'est la meilleure et la plus sûre règle qui puisse guider la raison dans la recherche de la vérité.... | |
| Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc - 1863 - 532 pages
...et la prévention, et de ne com» prendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si » clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occa» sion de le mettre en doute. » Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais... | |
| Charles Louandre - 1863 - 294 pages
...comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairemejit et si distinctement en mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Au lieu de ce grand nombre de préceptes dont la logique est composée, je crus que j'aurais assez... | |
| Louis François Jéhan - 1864 - 668 pages
...précipilation et la preven lion, et de ne comprendre rien d« plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le maître en doute. « II. Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant... | |
| François Réthoré - 1864 - 386 pages
...précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements, que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de la mettre en doute. » (Discours de la méthode.} vrai qu'il n'admette d'autre évidence que l'évidence... | |
| René Descartes - 1865 - 466 pages
...précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenteroit si clairement et si distinctement à mon esprit que...Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinois en autant de parcelles qu'il se pourroit et qu'il seroit requis pour les mieux résoudre.... | |
| Jean Marie Constant Duhamel - 1865 - 618 pages
...précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que...» Le second, de diviser chacune des difficultés, etc., etc. » Descaries ne faisait donc pas plus cas que Bacon de la logique de son temps; il croit... | |
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