Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Œuvres de J. Racine - Page 325by Jean Racine - 1865Full view - About this book
| Pierre-François Tissot - 1825 - 652 pages
...des convenances, même dans une scène où l» passion franchit toutes les bornes , exigeait qu'OE' Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je p&lisà sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme eperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais... | |
| Voltaire - 1827 - 724 pages
...fatigante, si c'était une autre qui parlât de la passion de Phèdre. ( Acte I", scène ni.) Athèues me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mou ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler; Je sentis tout mou corps et transir... | |
| Voltaire - 1827 - 726 pages
...images : alors l'auteur dit précisément les mêmes choses que dirait la personne qu'il introduit : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. RACINE, Phèdre, act. I, se. ni. L'imagination... | |
| 1827 - 584 pages
...peine au fils d'Égée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée , Mon repos, mon bonheur, semblait être affermi : Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâIis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais... | |
| Voltaire - 1828 - 528 pages
...métaphore si recherchée. dit precisément les mêmes choses que dirait la personne qu'il introduit : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. RACINE , Phèdre, acte i, se. 3. L'imagination... | |
| Jean Racine - 1829 - 300 pages
...Mon mal vient de plus loin. A peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étois engagée , Mon repos , mon bonheur sembloit être affermi ; Athènes...trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus... | |
| Jean Racine - 1829 - 460 pages
...Mon mal -vient de plus loin. A peine au fils d'Egée §ous les lois de l'hymen je m'étois engagée, Mon repos, mon bonheur sembloit être affermi ; Athènes...je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler ; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Jean Racine - 1829 - 724 pages
...Mon mal vient de plus loin. A peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'élois engagée, Mon repos, mon bonheur sembloit être affermi; Athènes...ennemi; Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue; lin trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voy oient plus, je ne pouvois parler; Je sentis... | |
| Voltaire - 1829 - 564 pages
...amplification fatigante, si c'était une autre qui parlât de la passion de Phèdre. (Acte i", scène 3.) Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis ,...je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Jean-François de La Harpe - 1839 - 430 pages
...au fil» d'Egée Sous les loi» de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos , mon bonheur, semblait être affermi. Athènes me montra mon superbe ennemi...trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Voilà la peinture... | |
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