| Jean Racine - 1829 - 300 pages
...mots épouvantables , Son ombre vers mon lit a paru se baisser : Et moi .je lui tendois les mains ponr l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de cbair meurtris et traînés dans la fange , Des lamteaux pleins de sang, et des membres affreux Que... | |
| Amédée Pichot - 1830 - 284 pages
...pendant à ceux où le Dante fait ronger la tête de l'archevêque Ruggieri par Ugolin. Racine a dit: Un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés...fange, Des lambeaux pleins de sang et des membres affreux Que les chiens dévorants se disputaient entre eux '. Quelques-uns de ces hommes aujourd'hui... | |
| 1830 - 274 pages
...achevait ces mots épouvantables Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les bras pour l'embrasser : Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange (i), Des lambeaux pleins de sang et des membres affreux ,... | |
| Virgil - 1831 - 430 pages
...Jésabel, Comme au jour de sa mort pompeusement parée, sa fille , qui veut l'embrasser , ne trouve plus Qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux teints de sang , et des membres affreux Que des chiens dèvorans se disputaient entr'eux. M. de Châteaubriand... | |
| 1831 - 286 pages
...achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser; 1 Et moi, je lui tendois les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux, Que... | |
| Hector de Jailly - 1831 - 352 pages
...prendre avec la littérature des angoisses et du désespoir? c'est un amas confus Où l'on ne trouve plus qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés dans la fange , Deslambeaux teints de sang et des membres affreux. A peine si les bardes de Pharamond et de Mérovée... | |
| Nicholas Marcellus Hentz - 1833 - 282 pages
...achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser; 1 Et moi, je lui tendois les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux, Que... | |
| Pierre François Merlet - 1833 - 624 pages
...achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser; Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang et des membres affreux, Que... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1834 - 394 pages
...achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi , je lui tendois les mains pour l'embrasser , Mais je n'ai plus trouvé...fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputoient entre eux. Il seroit malaisé de décider ici entre... | |
| 1835 - 426 pages
...moi je lui tendois les mams pour l'embrasser: Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'o» et de chairs meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux, due des chiens dévorants se disputoient cntr'eux. Pour résumer ici tout ce que nous venons... | |
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