Je montais à l'échelle pour faire l'ouvrage des tapissiers et des ouvriers, parce qu'il ne fallait pas qu'ils entrassent. Les nourrices ne mettaient la main à rien de peur d'être fatiguées et que leur lait ne fût moins bon. J'allais souvent de l'une... La Mosaïque du midi: publication mensuelle - Page 310edited by - 1838Full view - About this book
| 1863 - 954 pages
...pénibles et rebutants pour leur gourvernante. 11 vaut mieux la laisser nous le raconter elle-même : a Je montais à l'échelle pour faire l'ouvrage des...main à rien de peur d'être fatiguées et que leur lait ne fût moins bon. J'allais souvent de l'une à l'autre à pied, déguisée, portant sous mon... | |
| Gustave Gouellain, Jean Benoît Désiré Cochet - 1863 - 946 pages
...pénibles et rebutants pour leur gourvernante. Il vaut mieux la laisser nous le raconter elle-même : « Je montais à l'échelle pour faire l'ouvrage des...main à rien 'de peur d'être fatiguées et que leur lait ne fût moins bon. J'allais souvent de l'une à l'autre à pied, déguisée , portant sous mon... | |
| Louis Gabriel Michaud - 1842 - 708 pages
...Montgon. Il n'appartient qu'à madame Scarron de faire connaître la vie mystérieuse qu'elle menait: « Je montais à l'échelle" pour faire l'ouvrage des...fallait « pas qu'ils entrassent; les nourrices ne met« taient la main à rien , de peur d'être fatiguées « et que leur lait ne fût moins bon. J'allais... | |
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