Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. -Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous... Manuel de littérature française - Page 127by Karl Julius Ploetz, Carl Ploetz - 1894 - 784 pagesFull view - About this book
| Louis Domairon - 1804 - 496 pages
...Coqs.) Ici, ce sont des idées nobles , des figures hardies, un syle plein d'énergie et de majesté : Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le Nord eût porté jnsques-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie : Le... | |
| 1807 - 562 pages
...vent. La nature euvers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Fart d'un bon naturel ; mais quittez ce souci ; Les vents...sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots , Du bout de l'horison accourt avec furie Le plus terrible des enfans • Que le nord... | |
| Jean Brunel - 1808 - 506 pages
...vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. Ьа nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion , lui répondit...-et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs corps épouvantables Résisté , sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots... | |
| C. J. Cunninghame - 1808 - 208 pages
...Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion , lui répondit...l'arbuste , Part d'un bon naturel : mais quittez ce souri; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables Je plie, el IIP romps pas. Vi,us avez jusqu'ici... | |
| Jean de La Fontaine - 1809 - 266 pages
...Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit...l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord eût porté jusques-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le... | |
| Friedrich Gedike - 1811 - 288 pages
...leurs coups épouvantables Réfifté fans courber le dos : Mais attendons la fin." — Comme il difoit ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans • Que le nord tût porté jufques- là dans fes flan». L'arbre tient bon, le rofeau plie;... | |
| Jean de La Fontaine - 1813 - 436 pages
...vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Fart d'un bon naturel : mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vous redoutables : Je plie, «t ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos... | |
| Jean-Pons-Victor Lecoutz de Levizac, François Moysant - 1814 - 572 pages
...yoûVnage, Vous n'auriez pas tant à souffrir, Je vous défemlrois de l'orage ; La nature envers TOUS me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit...sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il clisoil. ces mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfans Que le nord... | |
| Jean de La Fontaine - 1814 - 346 pages
...Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion , lui répondit...: Les vents me sont moins qu'à vous redoutables; FASLKS. I. " 6 Je plie , et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1815 - 526 pages
...naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent . La nature envers vous me paroit bien injuste! Votre compassion , lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci ; Le< vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie, et ne romps pas. Voua avez jusqu'ici ,... | |
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