 O chère ombre ! appellemoi sur les rives du Styx ; la lumière m'est odieuse : c'est toi seul, mon cher Hippias, que je veux revoir. Hippias ! Hippias ! ô mon cher Hippias ! je ne vis encore que pour rendre à tes cendres le dernier devoir.  Les avantures de Telemaque, fils d'Ulysse - Page 288by François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1800 - 399 pagesFull view - About this book
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon, Villemain (M.) - 1811 - 440 pages
...Hippias, que je veux revoir. Hippias! Hippias! ô mon cher Hippias! je ne vis encore que pour rendre a tes cendres le dernier devoir. Cependant on voyoit...qu'on portoit dans un cercueil orné de pourpre , d'or et d'argent. La mort , qui avoit éteint ses yeux, n' avoit pu effacer toute sa beauté, et les grâces... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1824 - 624 pages
...lumière m'est odieuse : c'est toi seul, mon cher Hippias, que je veux revoir. Hippias! Hippias! ô mon cher Hippias ! je ne vis encore que pour rendre à tes cendres le dernier devoir. VA». — ' c'est moi cruel , moi impitoyable , qui l'ai «pprtt * "" priser la mort. ac Edit. Le copiste... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1821 - 426 pages
...lumière m'est odieuse : c'est toi seul, mon cher Hippias, que je veux revoir. Hippias ! Hippias ! ô mon cher Hippias ! je ne vis encore que pour rendre* à tes cendres le dernier devoir. Cependant en voyait le corps du jeune Hippias étendu, qu'on portait dans un cercueil" orné de pourpre, d'or... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1821 - 486 pages
...lumière m'est . odieuse : c'est toi seul , mon cher Hippias , qwe je veux revoir. Hippias! Hippias! ô mon cher Hippias? je ne ' vis encore que pour rendre à tes cendres le dernier àcVoir. Cependant 011 voyoit le corps du jeune Hippias étendu, qu'on portoit dans un cercueil orné... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - 566 pages
...lumière m'est odieuse : c'est toi seul, mon cher Hippias, que je veux revoir. Hippias ! Hippias ! ô mon cher Hippias ! je ne vis encore que pour rendre...on voyoit le corps du jeune Hippias étendu , qu'on portait dans un cercueil orné de pourpre, d'or et d'argent. La mort, qui avoit éteint ses yeux, n'avoit... | |
 | Francois de Salignac de La Mothe Fénelon (archevêque de Cambrai) - 1824 - 348 pages
...: c'est toi seul , mon cher Hippias , que je veux revoir. Hippias! Hippias 1 ô mon cher Hippids l je ne vis encore que pour rendre à. tes cendres le...on voyoit le corps du jeune Hippias étendu, qu'on portait dans un cercueil orné de pourpre, d'or , et d'argent. La mort , qui avoit éteint ses yeux... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1824 - 450 pages
...lumière m'est odieuse : c'est toi seul , mon cher Hippias , que je veux revoir. Hippias! Hippias! ô mon cher Hippias! je ne vis encore que pour rendre à tes cendres le dernier devoir. Cependant on voyait le corps du jeune Hippias étendu , qu'on portait dans un cercueil orné de pourpre, d'or et... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1824 - 656 pages
...etc. qu'oïl y lit maintenant. Nous revenons à sa première leçon, qui l'emporte par le naturel. Cependant on voyoit le corps du jeune Hippias étendu , qu'on portoit dans un cercueil orne' de pourpre, d'or et d'argent. La mort, qui avoit éteint ses yeux , n'avoit pu effacer toute... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1825 - 458 pages
...lumière m'est odieuse : c'est toi seul, mon cher Hippias, que je veux revoir. Hippias! Hippias! ô mon cher Hippias! je ne vis encore que pour rendre...on voyoit le corps du jeune Hippias étendu, qu'on portoitdans un cercueil orné de pourpre, d'or et d'argent. La mort qui a voit éteint ses yeux, n'avoit... | |
 | François de Salignac de la Mothe Fénelon (abp. of Cambrai.) - 1825 - 444 pages
...lumière m'est odieuse : c'est toi seul, mou cher Hippias, que je veux revoir. Hippias! Hippias! ô mou cher Hippias! je ne vis encore que pour rendre à...on voyoit le corps du jeune Hippias étendu, qu'on portoitdans un cercueil orné de pourpre, d'or et d'argent. La mort qui avoit éteint ses yeux, n'avoit... | |
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