... les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient, et je ne m'en apercevais pas; je suivais avec anxiété ma pensée, qui, de couche en couche, descendait vers le fond de ma conscience, et dissipant l'une après l'autre toutes les illusions... La foi - Page 167by Eugène Michaud - 1870 - 372 pagesFull view - About this book
| 1865 - 1084 pages
...promener; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. En vain je... | |
| Théodore Jouffroy - 1842 - 528 pages
...méditatives de mon esprit , cet aveuglementsur mes propres opinions pût long-temps subsister. Je n'oublierai jamais la soirée de décembre où le voile qui me...après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. En vain je... | |
| Théodore Jouffroy - 1842 - 514 pages
...méditatives de mon esprit, cet aveuglement sur mes propres opinions pût long-temps subsister. Je n'oublierai jamais la soirée de décembre où le voile qui me...de couche en couche descendait vers le fond de ma conscience,et, dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque là dérobé... | |
| 1842 - 648 pages
...ne m'en apercevais pas; je suivois avec anxiété ma pensée , qui (le couche en couche descendoil vers le fond de ma conscience , et , dissipant l'une...après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque là dérobé la vue, m'en rendoit demoment en momentles détours plus visibles. mon enfance,... | |
| Pierre Leroux - 1843 - 166 pages
...promener ; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, » qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures » de la nuit s'écoulaient,...après l'autre » toutes les illusions qui m'en avaient jusque là dérobé la vue, » m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. » En vain... | |
| Théodore Combalot - 1844 - 208 pages
...après l'heure du sommeil, j'avais coutumedeme promener; je vois encore cette lune à demi-voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalle les...ne m'en apercevais pas ; je suivais avec anxiété m .1 pensée qui de couche en couche descendait vers le foud de rua conscience, et, dissipant l'une... | |
| Adolphe Franck - 1847 - 672 pages
...promener ; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. En \ainje... | |
| Adolphe Franck - 1847 - 666 pages
...promener ; je vois encore celte lune à demi voilée par les nuages , qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. En vain je... | |
| Dictionnaire - 1847 - 1326 pages
...promener; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages , qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles. En vain je... | |
| Dictionnaire - 1847 - 682 pages
...promener ; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...pas ; je suivais avec anxiété ma pensée qui de coucheen couche descendait vers le fond de ma conscience , et , dissipant l'une après l'autre toutes... | |
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