J'avais goûté aux cruelles délices de la maternité, je résolus de m'y livrer entièrement, d'assouvir ce sentiment dans une sphère plus étendue que celle des mères, en devenant une sœur de charité pour tout un pays, en y pansant continuellement... Oeuvres complètes de H. de Balzac ... - Page 633by Honoré de Balzac - 1870Full view - About this book
| Honoré de Balzac - 1855 - 778 pages
...cruelles délices de la maternité, je résolus de m'y livrer entièrement, d'assouvir ce sentiment dans une sphère plus étendue que celle des mères,...fortement tracé ma destinée, quand je songeai que la promi'Vc pensée grave de ma jeunesse m'avait fait incliner vers l'état de médecin, et je résolus... | |
| Honoré de Balzac - 1855 - 928 pages
...livrer entièrement, d'assouvir ce sentiment dans une sphère plus étendue que celle des mères, n devenant une sœur de charité pour tout un pays,...me parut donc avoir fortement tracé ma destinée, qnand je songeai que la première pensée grave de ma jeunesse m'avait fait incliner vers l'état de... | |
| Honoré de Balzac - 1874 - 756 pages
...cruelles délices de la maternité, je résolus de m'y livrer entièrement, d'assouvir ce sentiment dans une sphère plus étendue que celle des mères,...continuellement les plaies du pauvre. Le doigt de Dieu me parnt (ionc avoir fortement tracé ma destinée, quand je songeai que 'a première pensée grave de... | |
| Honoré de Balzac - 1927 - 334 pages
...celles des mères, en devenant i ne sœur de charité pour tout un pays, en y pansant îontinuellement les plaies du pauvre. Le doigt de Dieu me parut donc avoir fortement tracé ma destinée, quand je songeais que la première pensée grave de ma jeunesse m'avait fait incliner vers l'état de médecin,... | |
| Honoré de Balzac - 1846 - 818 pages
...cruelles délices de la maternité, je résolus de m'y livrer entièrement, d'assouvir ce sentiment dans une sphère plus étendue que celle des mères,...pour tout un pays, en y pansant continuellement les pluies du pauvre. Le doigt de Dieu me parut donc avoir fortement tracé ma destinée, quand je songeai... | |
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