| Benjamin de Constant de Rebecque - 1839 - 398 pages
...impatienté d'y rentrer plus tôt que je ne l'aurais voulu , je la trouvais triste ou irritée. J'avais souffert deux heures loin d'elle de l'idée qu'elle...l'idée confuse que, par la seule nature des choses, celte liaison ne pouvait durer, idée triste sous bien des rapports, servait néanmoins à me calmer... | |
| Benjamin Constant - 1919 - 296 pages
...impatienté d'y rentrer plus tôt que je ne l'aurais voulu, je la trouvais triste, ou irritée. J'avais souffert deux heures loin d'elle de l'idée qu'elle souffrait loin de moi. 80 Je souffrais deux heures près d'elle, avant de pouvoir l'apaiser. Cependant je n'étais pas malheureux.... | |
| Alison Fairlie - 1981 - 500 pages
...interplay. Adolphe is stifled by Ellénore's devotion, yet it is his own devotion which holds him to her ('Son bonheur m'était nécessaire, et je me savais nécessaire à son bonheur'). Each makes sacrifices to the other, realizes that these sacrifices must be hidden, yet is wounded when... | |
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