| Adolphe Napoléon Didron, Edouard Didron - 1844 - 562 pages
...précipice affreux ! Non, non, il faut marcher, il faut courir ; telle est la rapidité de la vie. On se console pourtant, parce que de temps en temps...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter : MARCHE, MARCHE. Et cependant on voit tomber, derrière... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1845 - 372 pages
...RAPIDITÉ DE LA VIE. vais éviter ce précipice affreux. Non, non, il faut marcher, il faut courir, telle est la rapidité des années. On se console...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter : marche, marche. Et cependant on voit tomber derrière... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...; encore si je pouvais éviter ce précipice affreux. Non, non , il faut marcher , il faut courir ; telle est la rapidité des années. On se console...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter ; marche , marche. Et cependant on voit tomber derrière... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1845 - 522 pages
...route. Encore si je pouvais éviter ce précipice affreux ! Non, non; il faut marcher, il faut courir : telle est la rapidité de.s années. On se console...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait s'arrêter : Marche! marche! Et cependant on voit tomber derrière... | |
| Joseph Francois Charles Grandgagnage - 1845 - 172 pages
...route; encore si je pouvais éviter « ce précipice affreux. Non, non,ilfautmarcher,il faut courir, v telle est la rapidité des années. On se console...parce que de temps en temps on rencontre des objets v qui nous divertissent , des eaux courantes , des fleurs qui « passent. On voudrait arrêter; marche,... | |
| Jean Siffrein Maury - 1845 - 718 pages
...mar« cher, il faut courir : telle est la rapidité des années. « On se console pourtant, parceque de temps en « temps on rencontre des objets qui nous divertissent, « des eaux courantes, des fleurs qui passent. On vou« drait s'arrêter. Marche ! marche ! Et cependant on « voit tomber... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1846 - 428 pages
...encore si je pouvais éviter ce précipice affreux. Non , non ; il faut marcher , il faut courir : telle est la rapidité des années. On se console...des objets qui nous divertissent, des eaux courantes , des fleurs qui passent, etc. On voudrait arrêter : marche, marche. Et cependant on voit tomber derrière... | |
| Casimir Ladreyt - 1846 - 378 pages
...encore si je pouvais éviter ce précipice affreux. Non, non, il faut marcher, il faut courir, telle est rapidité des années. On se console pourtant, parce...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter ; marche, marche. Et cependant on voit tomber derrière... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1848 - 540 pages
...Encore si je pouvais éviter ce précipice affreux ! — IN on , non , il faut marcher, il faut courir; telle est la rapidité des années. — On se console...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter. — Marche, marche. — Et cependant on voit tomber derrière... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1848 - 406 pages
...route ; encore si je pouvais éviter ce précipice affreux. Non, non, il faut marcher, il faut courir, telle est la rapidité des années. On se console...objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent. On voudrait arrêter : marche, marche. Et cependant on voit tomber derrière... | |
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