| George Eugène Fasnacht - 1880 - 236 pages
...mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu ! quand j'y pense encore .... Nous deux presque sans...quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de 20 sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais ; m'échapper tout seul, je ne pouvais... | |
| George Eugène Fasnacht - 1880 - 286 pages
...mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu ! quand j'y pense encore .... Nous deux presque sans...quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de 20 sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais ; m'échapper tout seul, je ne pouvais... | |
| Frédéric Julien - 1883 - 204 pages
...tout mon corps froid comme marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu ! quand j'y pense encore ! ... Nous deux, presque sans...gros dogues hurlant comme des loups. . . . En quelle peino 'e me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entendis,... | |
| George Eugène Fasnacht - 1884 - 236 pages
...deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de 20 sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit,...pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, 25 j'entends sur l'escalier quelqu'un, et par les fentes de la porte, je vis le père, sa lampe dans... | |
| Alexandre Vessiot - 1886 - 450 pages
...tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si fêtais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore !... Nous deux, presque sans...comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imagiuez-le si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un,... | |
| Jacques Demogeot - 1886 - 566 pages
...tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!... Nous deux presque sans...tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! D'appeler, faire du bruit, je n'osais ; m'échapper tout seul, je ne pouvais ; la fenêtre n'était... | |
| Heinrich Saure - 1888 - 324 pages
...tout mon corps froid comme marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore! . . . Nous deux, presque sans...pouvez.' Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entendis sur l'escalier quelqu'un, et, par la fente de la porte, je vis le père, sa lampe dans une... | |
| Victor Kastner - 1889 - 312 pages
...tout mon corps froid comme marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!... Nous deux, presque sans...pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entendis, sur l'escalier, quelqu'un, et, par la fente de la porte, je vis le père, sa lampe dans... | |
| Leslie Shelley Dodge - 1889 - 224 pages
...tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore . . . Nous deux presque sans...guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant commedes loups. . . . En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez." "Au bout d'un quart... | |
| Hans Rahn - 1891 - 388 pages
...peine, tout mon corps froid commeun marbre; à me voir, on n'eût su si j'étais mort ou vivantDieu ! quand j'y pense encore ! Nous deux, presque sans armes,...mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du brait, je n'osais ; m'échapper tout seul, je ne pouvais ; la chambre n'était guère haute, mais en... | |
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