 | Henri Sensine - 1911 - 168 pages
...voyons, faut-il les tuer tous deux? » A quoi la femme répondit : « Oui. » Et je n'entendis plus rien. En quelle peine je me trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure qui fut long, ^'entendis sur l'escalier quelqu'un, et, par les fentes de la porte, je vis le père, sa lampe dans... | |
 | Charles Le Goffic - 1919 - 262 pages
...tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!... Nous deux presque sans...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlaient comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. Au bout d'un... | |
 | Charles Le Goffic - 1919 - 254 pages
...marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu I quand j'y pense encore I... Noua deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant I Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper... | |
 | Everett Ward Olmsted - 1920 - 300 pages
...corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand 15 j'y pense encore! . . . Nous deux, presque sans armes,...m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était 20 guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups . . . En quelle peine je me trouvais,... | |
 | Georges Pellissier - 1921 - 582 pages
...tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore! nous deux presque sans armes,...faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je nu pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en ba deux gros dogues hurlant comme des loups...... | |
 | Walter Ripman - 1922 - 148 pages
...corps froid comme un marbre; | à me voir, | vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. | Dieu! quand j'y pense encore ! . . . | Nous deux presque...en bas deux gros dogues | hurlant comme des loups. (P.-L. Courier.) [18] 72. François était un enfant trouvé, | d'abord élevé par la charité d'un... | |
 | Marguerite Treille, Lucy Maria Gay - 1925 - 232 pages
...tout mon corps froid comme un marbre; à me voir vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu ! Quand j'y pense encore ! ... Nous deux presque sans...pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, detrjS , j'entends ewr- l'escalier quelqu'un, et par la fente de la porte je vis le père, sa lampe... | |
 | Ferdinand Bôcher - 1870 - 338 pages
...mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu ! 19 quand j'y pense encore !... Nous deux presque sans...peine je me trouvais, imaginez-le si vous pouvez. 20 Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et, par les fentes... | |
 | 1863 - 436 pages
...corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu ! quaud j'y pense encore!... Nous deux, presque sans armes,...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlaient comme des loups En quelle peine je me trouvais! Imaginez-le, si vous le pouvez. Au bout d'un... | |
 | Ferdinand Bôcher - 1870 - 302 pages
...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu ! 19 quand j'y pense encore ! ... Nous deu x presque sans armes, contre eux, douze ou quinze, qui...pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais eu bas deux gros dogues hurlant comme des loups ... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le si... | |
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Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? Je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore! . . . Nous deux, presque sans armes, contre eux... 
