Nous recevons sans cesse et à tout moment une raison supérieure à nous, comme nous respirons sans cesse l'air, qui est un corps étranger, ou comme nous voyons sans cesse tous les objets voisins de nous à la lumière du soleil , dont les rayons sont... Philosophie. Logique - Page 147by Auguste Joseph Alphonse Gratry - 1855Full view - About this book
| Adolphe Garnier - 1852 - 498 pages
...fait paraître à tous les hommes de la même manière. « Nous recevons sans cesse, dit Fénelon, une raison supérieure à nous, comme nous respirons sans cesse l'air, qui est un corps étranger. » Mais nous ne confondons jamais l'air que nous respirons avec une conception pure ; l'air nous paraît... | |
| Victor Cousin - 1853 - 522 pages
...et être le fond de nous-mêmes, je veux dire notre raison, est ce qui nous est le moins propre et qu'on doit croire le plus emprunté. Nous recevons sans cesse et à tous moments une raison supérieure à nous , comme nous respirons sans cesse l'air, qui est un corps... | |
| Emile Hannotin - 1854 - 468 pages
...honnir la science et la philosophie, quand le ciel nous invitee les cultiver ? Écoutons Fénélon : « Nous recevons sans cesse et à » tout moment une...corps étranger, » ou comme nous voyons sans cesse tous les objets voisins » de nous à la lumière du soleil » — « Les idées » que j'ai en moi,... | |
| Auguste Joseph Alphonse Gratry - 1854 - 472 pages
...recevons sans 1 Première partie, chap. H, n° 54. — 2 Ibid., n° SS. « cesse et à tous moments une raison supérieure à « nous , comme nous respirons...corps étranger, ou comme nous voyons « sans cesse tous les objets voisins de nous, à la « lumière du soleil , dont les rayons sont des corps « étrangers... | |
| 1854 - 676 pages
...et être le fond de nous-mêmes, je veui dire notre raison, est ce qui nous est le moins propre, et qu'on doit croire le plus emprunté. Nous recevons sans cesse et à tous moments une raison supérieure à nous En toutes choses nous trouvons comme deux principes au-dedans... | |
| Julien Oudot - 1855 - 442 pages
...sous un de ses aspects, ne recevrait-il pas, sous un autre, la communication « d'un être supérieur à nous, comme « nous respirons sans cesse l'air qui est un corps < étranger ' ? » — Sentir la possibilité de nous élever à Dieu, est-ce déserter la cause de la raison?... | |
| Auguste Gratry - 1856 - 514 pages
...recevons sans i Première partie, chap. n, n° 54. — 2 Ibid., n» 55. « cesse et à tous moments une raison supérieure à « nous, comme nous respirons...corps étranger, ou comme nous voyons « sans cesse tous les objets voisins de nous, à la « lumière du soleil, dont les rayons sont des corps « étrangers... | |
| J. Oudot - 1856 - 450 pages
...sous un de ses aspects, ne recevrait-il pas, sous un autre, la communication « d'un être supérieur à nous, comme « nous respirons sans cesse l'air qui est un corps « c'tranger ' ? » — Sentir la possibilité de nous élever à Dieu, est-ce déserter la cause de... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1857 - 590 pages
...être le fond de nousmêmes , je veux dire notre raison , est ce qui nous est le moins propre , et qu'on doit croire le plus emprunté. Nous recevons...un corps étranger, ou comme nous voyons sans cesse tous les objets voisin» de nous à la lumière du soleil , dont les rayons sont des corps étrangers... | |
| Victor Cousin - 1858 - 520 pages
...être le fond de nous-mêmes, je veux dire notre raison , i. est ce qui nous est le moins propre et qu'on doit croire le plus emprunté. Nous recevons sans cesse et à tous moments une raison supérieure à nous, comme nous respirons sans cesse l'air, qui est un corps... | |
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