Nous recevons sans cesse et à tout moment une raison supérieure à nous, comme nous respirons sans cesse l'air, qui est un corps étranger, ou comme nous voyons sans cesse tous les objets voisins de nous à la lumière du soleil , dont les rayons sont... Philosophie. Logique - Page 147by Auguste Joseph Alphonse Gratry - 1855Full view - About this book
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1882 - 710 pages
...être le fond de nous-mêmes, je veux dire notre raison, est ce qui nous est -le moins propre , et 8 7 (? A 8 e b%D$ " ZҌ ) JP Aɩ *"5ꗈ' $B...R@ j.YX>( Fk" W < 7 } F, # ߲ DVbj 9m1ZP tous les objets voisins de nous à Га lumière du soleil , dont les rayons sont des corps étrangers... | |
| Victor Cousin - 1883 - 520 pages
...propre et qu'on doit croire le plus emprunté. Nous recevons sans cesse et à tous moments une raisou supérieure à nous, comme nous respirons sans cesse l'air, qui est un corps étranger... — CHAI*. LVIU Le maître intérieur et universel dit toujours et partout les mêmes vérités. Nous... | |
| Paul Janet, Gabriel Séailles - 1887 - 1108 pages
...et être le fond de nous-mêmes, je veux dire notre raison, est ce qui nous est le moins propre et qu'on doit croire le plus emprunté. Nous recevons...comme nous respirons sans cesse l'air qui est un corps élranfjei'... Cette lumière universelle découvre et représente à nos esprits tous les objets,... | |
| André Lalande - 1928 - 616 pages
...(par suite de l'identité entre 1» pensée et son objet), cet absolu lui-même. « Nous recevons san* cesse et à tout moment une raison supérieure à nous, comme nous respirons sans cesse l'air, qui nous est un corps étranger. » FÉNELON, Traité de l'Exist. de Dieu, I, 56. « Chacun sent en soi... | |
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