| Académie des sciences, belles-lettres et arts d'Angers - 1851 - 626 pages
...Plutarque. Fénélon nous dit encore : « Je trouve qu'il y avait dans le vieux » langage d'Amyot, je ne sais quoi de court, de naïf , » de hardi, de vif qui le fait regretter. » Le témoignage de cet élégant auteur du xvne siècle doit compléter cette... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 386 pages
...» M™e Sand ici ne le prend pas. Elle regrette ces richesses ; elle regrette , comme Fénelon , ce je ne sais quoi de court , de naïf, de hardi , de vif et de passionné , qui animait notre vieux langage etque la langue rustique a conservé par endroits. Dans la Petite... | |
| Jacques Demogeot - 1852 - 684 pages
...siècle au point de dédaigner le précédent. 11 regrette certaines qualités qu'on a laissé perdre, je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi , de vif, du passionné. La langue même ne lui semble pas avoir toujours gagné au changement. Il croit qu'on... | |
| 1853 - 574 pages
...confessait franchement qu'il regrettait la langue de nos pères, dans laquelle il trouvait, disait-il , « je ne sais quoi de court , de naïf , de hardi, de vif et de passionné. » Au dix-huitième siècle, le chevalier de Jaucourt, frappé de l'excès de fini qu'on avait donné... | |
| 1855 - 488 pages
...bourguignon. Fénelon, dit M. Mignard, regrettait l'abandon du patois : il y trouvait, disait-il , je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné que La Fontaine connaissait et imitait. Le patois, c'est la langue vivante et nue; le beau langage,... | |
| Pierre Claude François Daunou, Pierre Lebrun, Charles Giraud, Barthélemy Hauréau, Léopold Delisle, Gaston Bruno Paulin Paris, René Cagnat, Alfred Merlin - 1855 - 794 pages
...lui reprocher ses expressions gasconnes; et ce n'est pas à lui qu'il attribue le moins du monde «ce je ne sais quoi de court, de naïf, de «hardi, de vif et de passionné,» dont il sait gré à nos vieux auteurs. Boileau et les critiques du temps sont également muets sur... | |
| Eugène Jung, Godefroy Eugéne Yung - 1855 - 526 pages
...soldatesque. > Henri IV se rapproche, ce semble, de cet idéal de Montaigne. Fénelon y trouverait le « je ne sais quoi de court, de naïf (\), de hardi, de vif et de passionné.» (1) On trouve la copie de quelques lettres à Gabrielle d'Estrées dans les manuscrits de Conrart,... | |
| Jacques Demogeot - 1855 - 700 pages
...siècle au point de dédaigner le précédent. Il regrette certaines qualités qu'on a laissé perdre, je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif, de passionne. La langue même ne lui semble pas avoir toujours gagné au changement. Il croit qu'on... | |
| Jacques Demogeot - 1855 - 724 pages
...siècle au point de dédaigner le précédent. Il regrette certaines qualités qu'on a laissé perdre , je ne sais quoi de court , de naïf, de hardi , de vif, de passionné. La langue même ne lui semble pas avoir toujours gagné au changement. Il croit qu'on... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1857 - 590 pages
...verbeuse. Mais le vieux langage se fait regretter, quand nous le retrouvons dans Marot , dans Amvot, dans le cardinal d'Ossat : dans les ouvrages les plus...court, de naïf, de hardi , de vif et de passionné. On a retranché , si je ne me trompe , plus de mots qu'on n'en a introduits. D'ailleurs, je voudrais... | |
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