...moyen âge, admirable .|i( pour le détail des mœurs, et, comme le dit encore Féncju Ion, pour ce je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, . de vif et de passionné, que l'auteur même de Télémaque I, enviait à notre ancienne langue. :,- Sur ce sujet instructif...

...Hérodote du moyen âge, admirable pour le détail des mœurs, et, comme le dit encore Fénelon, pour ce je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné, que l'auteur même de Télémaque enviait à notre ancienne langue. Sur ce sujet instructif et piquant,...

...-moyen âge, « admirable pour le détail des mœurs, et, comme le « dit encore Fénelon, pour ce je ne sais quoi de « court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné, « que l'auteur même de Télémaque enviait à notre « ancienne langue. « Sur ce sujet instructif...

...Lettre sur les occupations de l'Académie française : « Le vieux langage se fait regret« ter. .. Il avait je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, « de vif, de passionné. » Fénelon trouvait la langue appauvrie depuis cent ans, et cependant il écrivait...

...qui écrit dans sa lettre sur l'éloquence : « Je trouve qu'il y avait dans le vieux langage d'Amyot je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif, qui se fait regretter. » Mais soyez-en juges vous-mêmes, en écoutant cette historiette que je trouve...

...retrouvons dans « M;mit . dans Amyot, dans le cardinal d'Ossat, dans les ou« vrages les plus enjoués et les plus sérieux : il avait je ne sais « quoi de...court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné (Let« trcs sur l'éloquence). » la langue catholique ou universelle, ce n'est pas la faute des humanistes...

...dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les « plus enjoués et dans les plus sérieux ; il avoit je ne sais quoi de court, « de naïf, de hardi, de vif et de passionné. On a retranché, si je ne me « trompe, plus de mots qu'où n'en a introduit. » (Fénelon, Lettre...

...retrouvons dans « Marot, dans Amyot, dans le cardinal d'Ossat, dans les ou* vrages les plus enjoués et les plus sérieux : il avait je ne sais « quoi de court, de ndif, de hardi, de vif et de passionné (Let* tres sur l'éloquence). » (2) L'Académie française...

...de nos campagnes, le dernier refuge de ce vieux langage auquel Fénelon, qui le regrettait, trouvait «je ne sais quoi de court, de » naïf, de hardi, de vif et de passionné (1), » et qui, en effet, soit par son elliptique concision, soit par l'image qu'il présente, est...

...de nos campagnes, le dernier refuge de ce vieux langage auquel Fénelon, qui le regrettait, trouvait «je ne sais quoi de court, de « naïf, de hardi, de vif et de passionné (1), » et- qui, en effet, soit par son elliptique concision, soit par l'image qu'il présente, est...