...absolue de la loi. Ce qui a fait dire à Bossuet dans son Discours sur l'histoire universelle : « Sous ce nom de liberté, les « Romains se figuraient, avec les Grecs, un état où per« sonne ne fut sujet que de la loi et où la loi fui plus « puissante que les hommes. » Et qu'était-ce...

...une de ces choses lui faisait aimer l'autre ; car, parce qu'il aimait sa liberté , il aimait aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissait dans,...figuraient , avec les Grecs , un état où personne ne fût sujet que de la loi , et où la loi fût plus puissante que personne. » A nous entendre déclamer...

...patrie. Une de ces choses lui faisait aimer l'autre : car, puisqu'il aimait sa liberté, il aimait aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissait dans...liberté, les Romains se figuraient, avec les Grecs, un Etat où personne ne fut sujet que de la loi, et où la loi fut plus puissante que les hommes. « La...

...Une de ces choses lui faisait aimer l'autre ; car, parce qu'il aimait sa liberté, il aimait aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissait dans...figuraient, avec les Grecs, un état où personne ne fût sujet que de la loi, et où la loi fût plus puissante que les hommes. Au reste, quoique Rome fût...

...faisait aimer l'autre ; car parce qu'il aimait sa liberté, il aimait sa patrie, comme une mèrequi le nourrissait dans des sentiments également généreux...figuraient, avec les Grecs, un État où personne ne fût sujet que de la loi, et où la loi lût plus puissante que les hommes. » — «Peu ou point d'argent,...

...Une de ces choses lui faisait aimer l'autre ; car, parce qu'il aimait sa liberté, il aimait aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissait dans des sentiments également généreux et libres. » C'est ainsi que se forme la tradition des grandes œuvres. La Cité de Dieu suscite quelques années...

...patrie; une de ces choses lui faisoit aimer l'autre, car, parce qu'il aimoit sa liberté, il aimoit aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissait dans des sentiments également généreux et libres. e Sous ce nom de liberté les Romains se figuraient, avec les Grecs, un état où personne ne fût...

...car, parce qu'il aimoit sa liberté , il aimoit aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissoit dans des sentiments également généreux et libres....figuraient, avec les Grecs, un état où personne ne fût sujet que de la loi , et où la loi fût plus puissante que personne. » A nous entendre déclamer...

...ferme et la plus suivie, oui fut jamais. aussi sa patrie comme une mère qui le nourissait dans dea sentiments également généreux et libres. Sous ce...figuraient, avec les Grecs, un état où personne ne fût sujet que de la loi, et où la loi fût plus puissante que les hommes. Quand Servius Tullius conçut...

...aimoit sa liberté, il aimoit aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissent dans des sentimens également généreux et libres. Sous ce nom de liberté, les Romains se flguroient avec les Grecs un état ou personne ne fût sujet que de la loi, et où la loi fut plus...