Une de ces choses lui faisait aimer l'autre : car, parce qu'il aimait sa liberté, il aimait aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissait dans des sentiments également généreux et libres. Sous ce nom de liberté, les Romains se figuraient, avec... Histoire romaine jusqu'à l'invasion des barbares - Page 105by Victor Duruy - 1870 - 585 pagesFull view - About this book
| Académie nationale de Reims (France) - 1865 - 740 pages
...Une de ces choses lui faisait aimer l'autre ; car, parce qu'il aimait sa liberté, il aimait aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissait dans des sentiments également généreux et libres. » De là viennent les riches développements consacrés, dans le Traité des devoirs, à celte partie... | |
| Léon Contanseau - 1865 - 592 pages
...plus ferme et la plus suivie, oui fut jamais. aussi sa patrie comme une mère qui le nourissait dar sentiments également généreux et libres. Sous ce nom de liberté, les Romains se figuraient, les Grecs, un état où personne ne fût sujet que de le et où la loi fût plus puissante que les... | |
| Emile Littré - 1867 - 504 pages
...liberté (redituraque nunquam libertas). « Sous ce nom '( de liberté, dit Bossuet (Hist. univ. 111, C), les Romains « se figuraient avec les Grecs un état où personne ne fût « sujet que de la loi , et où la loi fût plus puissante « que les hommes. » C'est aussi ce que... | |
| Woolwich roy. military acad - 1868 - 426 pages
...l'une de ces choses lui faisait aimer l'autre ; car, parce qu'il aimait sa liberté, il aimait aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissait dans...figuraient avec les Grecs un état où personne ne fût sujet que de la loi, et où la loi fût plus puissante que les hommes. B. Heureux qui loin du monde,... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1868 - 484 pages
...; car, parce qu'il aimoit sa liberté, il aimoit aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissoit dans des sentiments également généreux et libres....figuraient, avec les Grecs, un État où personne ne fût sujet que de la loi, et où la loi fût plus puissante que les hommes. Au reste, quoique Rome fût... | |
| Emile Littré - 1869 - 504 pages
...liberté (redituraque nunquam libertas). « Sous ce nom « de liberté, dit Bossuet (Hist. unfv. 111, 6), les Romains « se figuraient avec les Grecs un état où personne ne fui « sujet que de la loi, et où la loi fût plus puissante « que les hommes. » C'est aussi ce... | |
| François René vicomte de Chateaubriand - 1870 - 424 pages
...; une de ces choses lui faisait aimer l'autre; car, parce qu'il aimait sa liberté, il aimait aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissait dans...figuraient, avec les Grecs , un état où personne ne fût sujet que de la loi , et où la loi fût plus puissante que personne. » A nous entendre déclamer... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1865 - 854 pages
...une de ces choses lui faisait aimer l'autre : car, parce qu'il aimait sa liberté, il aimait aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissait dans...figuraient, avec les Grecs, un état où personne ne fût sujet que de la loi, et où la loi fût plus puissante que personne. » A nous entendre déclamer contre... | |
| François René de Chateaubriand - 1872 - 684 pages
...aimait aussi sa patrie comme une mère qui le nourrissait dans des sentiments égalementgénéreux et libres. « Sous ce nom de liberté, les Romains...figuraient, avec les Grecs, un état où personne ne fût sujet que de la loi, et où la loi fût plus puissante que personne, s A nous entendre déclamer contre... | |
| Victor Duruy - 1873 - 652 pages
...voira; censure. Au-dessus de ces grands personnages, mettons le peuple romain lui-même, duquel Bossuet a dit : « De tous les peuples du monde, le plus fier...figuraient, avec les Grecs, un État où personne ne fût sujet que de la loi, et où la loi fût plus puissante que les hommes. » — «Peu ou point d'argent,... | |
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