 | Gustave Flaubert - 1874 - 314 pages
...entr'ouverte, j'arrache avec ma langue les herbes vénéneuses arrosées de mon haleine. Une fois, je me suis dévoré les pattes sans m'en apercevoir....Si je relevais mes paupières, — mes paupières roses et gonflées, — tout de suite, tu mourrais. ANTOINE Oh! celui-là!... a... a... Si j'allais... | |
 | Gustave Flaubert - 1910 - 944 pages
...m'est impossible de li porter; je le roule autour de moi, lentement, et, la mâchoire entr'ouverte , j'arrache avec ma langue des herbes vénéneuses arrosées...vus sont morts. Si je relevais mes paupières, mes paupière roses et gonflées , tout de suite tu mourrais. ANTOINE. Oh ! oh ! ... celui-là. . . a.... | |
 | Gustave Flaubert - 1910 - 754 pages
...pourtant, à force de me lécher les pieds, je me les suis dévorés sans m'en apercevoir. Personne n'a jamais vu mes yeux, ou ceux qui les ont vus sont morts. Si je relevais mes paupières, Antoine, mes paupières grasses, et que tu aperçusses mes prunelles, ne fût-ce que l'instant d'un... | |
 | Gustave Flaubert - 1913 - 332 pages
...langueles herbes vénéneuses arrosées de mon haleine. Unp jeme suisdévoréles pattes sansm'enape ou ceux qui les ont vus sont morts. Si je relevais...gonflées, — tout de suite, tu mourrais. ANTOINE \ Oh! celui-là!... a... a... Si j'allais avoir :» -£nvie?... Sa stupidité m'attire. Non! non! je ne pas!... | |
 | Gustave Flaubert - 1922 - 430 pages
...entr 'ouverte, j'arrache avec ma langue les herbes vénéneuses arrosées de mon haleine. Une fois, je me suis dévoré les pattes sans m'en apercevoir....gonflées, — tout de suite, tu mourrais. ANTOINE Oh! celui-là!... a... a... Si j'allais avoir envie?... Sa stupidité m'attire. Non ! non ! je ne veux... | |
 | Gustave Flaubert - 1924 - 762 pages
...pourtant, à force de me lécher les pieds, je me les suis dévorés sans m'en apercevoir. Personne n'a jamais vu mes yeux, ou ceux qui les ont vus sont morts. Si je relevais mes paupières, Antoine, mes paupières grasses, et que tu aperçusses mes prunelles, ne fût-ce que l'instant d'un... | |
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Une fois, je me suis dévoré les pattes sans m'en apercevoir. Personne, Antoine, n'a jamais vu mes yeux, ou ceux qui les ont vus sont morts. Si je relevais mes paupières — mes paupières rosés et gonflées — tout de suite, tu mourrais. 